TRACKOEN Jean
Victime civile massacrée dans la nuit du 1er au 2 avril 1944 à Ascq (auj. Villeneuve-d’Ascq, Nord) ; ouvrier métallurgiste
Âgé de 20 ans, Jean Trackoen fut l’une des quatre-vingt-six victimes civiles qui périrent lors du massacre de Villeneuve-d’Ascq, dans la nuit du 1er au 2 avril 1944, avec son frère René.
Les frères Trackoen résidaient au 194 rue Marceau.
Dans la nuit du 1er au 2 avril 1944 à 22h45, un train de soldats de la XIIe SS Panzerdivision Hitlerjugend dérailla à l’approche de la gare d’Ascq à la suite d’un sabotage de la voie. Bien que les dégâts matériels soient minimes, le chef du convoi le lieutenant SS Walter Hauck décida d’exercer des représailles et ordonna la rafle de tous les hommes.
Il est inhumé dans une sépulture individuelle du cimetière communal d’Ascq, à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Il fut reconnu « mort pour la France » et son nom figure sur le monument commémoratif 1939-1945, à Ascq, sur la tombe individuelle et le monument commémoratif 1939-1945 du cimetière d’Ascq, à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Les frères Trackoen résidaient au 194 rue Marceau.
Dans la nuit du 1er au 2 avril 1944 à 22h45, un train de soldats de la XIIe SS Panzerdivision Hitlerjugend dérailla à l’approche de la gare d’Ascq à la suite d’un sabotage de la voie. Bien que les dégâts matériels soient minimes, le chef du convoi le lieutenant SS Walter Hauck décida d’exercer des représailles et ordonna la rafle de tous les hommes.
Il est inhumé dans une sépulture individuelle du cimetière communal d’Ascq, à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Il fut reconnu « mort pour la France » et son nom figure sur le monument commémoratif 1939-1945, à Ascq, sur la tombe individuelle et le monument commémoratif 1939-1945 du cimetière d’Ascq, à Villeneuve-d’Ascq (Nord).
Sources
SOURCES. Sites Internet : Mémorial GenWeb (1) ; Massacre d’Ascq.
Iconographie
ICONOGRAPHIE. Site Massacre d’Ascq
Frédéric Stévenot
