Né le 20 décembre 1919 à Fessenheim (Haut-Rhin), mort en action le 2 juillet 1944 à Azé (Saône-et-Loire) ; résistant de l’armée secrète et des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).

Albert Senn était le fils d’Eugène et de Louise Forstes. Il était célibataire.
Il fut tué à l’ennemi le 2 juillet 1944 au lieu-dit "Pinagot", au cours de la bataille d’Azé qui opposa un millier de soldats allemands et de miliciens transportés par une centaine de véhicules, dont des cars de la Régie des transports de Saône-et-Loire aux maquis du Mâconnais. 150 soldats allemands furent tués. Le maquis perdit 8 hommes dont Albert Senn.
L’acte de décès fut d’abord dressé comme étant celui d’un inconnu et fit l’objet d’un jugement rectificatif de décès rendu par le Tribunal civil de première instance de Mâcon le 29 avril 1947 transcrit à Azé.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur la stèle commémorative, à Azé, sur le monument commémoratif du col de Brancion, à Martailly-lès-Brancion (Saône-et-Loire) et sur les monuments aux morts, à Cormatin (Saône-et-Loire) et Fessenheim (Haut-Rhin).
Sources

SOURCES : Geneawiki Martailly-lès-Brancion - Morts aux guerres.— Les rituels commémoratifs thèse sur Internet.— Mémorial Genweb.

Jean-Louis Ponnavoy

Version imprimable