GUYÉNOT Henri, Pierre, Augustin
Né le 11 mai 1923 à Losne (Côte-d’Or), mort en action le 12 juillet 1944 à Cuiseaux (Saône-et-Loire) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Henri Guyénot était le fils de Marie-Louise, journalière, domiciliée au hameau de Maison-Dieu, à Losne (Côte-d’Or). Il était célibataire.
Il entra dans la Résistance au bataillon Dubois, alias Paul Mouret, lié au réseau Buckmaster, sous le pseudonyme "Rifin". En 1944, le groupe Dubois vint seconder les maquis du Louhannais de Condé.
Le 12 juillet 1944, une section du bataillon fut envoyée en surveillance à l’entrée du village de Cuiseaux sur la RN 83, à la demande de Condé. Elle se fit surprendre par un détachement allemand à bord de deux camions. Les résistants furent attaqués au FM et à la grenade et 5 d’entre dont Henri Guyénot trouvèrent la mort vers 15 heures au lieu-dit "La Chapelle". Deux autres maquisards furent blessés et il y eut un disparu. Les soldats allemands eurent 25 morts, de nombreux blessés, un prisonnier et un camion détruit.
Henri Guyénot obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque du Souvenir français placée devant le monument aux morts, à Losne (Côte-d’Or) et sur le monument commémoratif de la Résistance à Louhans (Saône-et-Loire). Il ne semble pas figurer sur la stèle du bataillon Dubois, à Navilly.
Il entra dans la Résistance au bataillon Dubois, alias Paul Mouret, lié au réseau Buckmaster, sous le pseudonyme "Rifin". En 1944, le groupe Dubois vint seconder les maquis du Louhannais de Condé.
Le 12 juillet 1944, une section du bataillon fut envoyée en surveillance à l’entrée du village de Cuiseaux sur la RN 83, à la demande de Condé. Elle se fit surprendre par un détachement allemand à bord de deux camions. Les résistants furent attaqués au FM et à la grenade et 5 d’entre dont Henri Guyénot trouvèrent la mort vers 15 heures au lieu-dit "La Chapelle". Deux autres maquisards furent blessés et il y eut un disparu. Les soldats allemands eurent 25 morts, de nombreux blessés, un prisonnier et un camion détruit.
Henri Guyénot obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque du Souvenir français placée devant le monument aux morts, à Losne (Côte-d’Or) et sur le monument commémoratif de la Résistance à Louhans (Saône-et-Loire). Il ne semble pas figurer sur la stèle du bataillon Dubois, à Navilly.
Sources
SOURCES : René Pacaut, Maquis dans la Plaine, 4e édition, Bruailles, 1981 . — Mémorial Genweb. — État civil (acte de naissance).
Jean-Louis Ponnavoy
