LABAUNE Jean, Albert
Né le 8 novembre 1919 à Saint-Rémy (Saône-et-Loire), exécuté sommairement le 2 février 1944 à Lyon (IIe arr.) ; militaire de carrière ; résistant des Forces françaises combattantes (FFC).
Jean Labaune était le fils de Jean Marie, agent SNCF et de Berthe Dumond. Il était célibataire et domicilié en dernier lieu à Chalon-sur-Saône. Il était militaire de carrière.
Il a été fusillé à l’hôtel du Centre 72 rue Mercière, à Lyon 2e (Rhône) le 2 février 1944, à 22h30. Son corps fut découvert le lendemain. Aucun élément ne précise les causes de sa mort. Fut-il abattu sur place par la Gestapo, la milice, y eut il un combat ou un engagement ?
L’acte de décès n° 210 dressé le 11 février 1944 sur la déclaration de André Cogolegnhe, inspecteur de police à Sainte-Foy-lès-Lyon est celui d’un inconnu qui donne une description très précise du signalement (description physique, signes particuliers, vêtements portés).
Son acte de décès fut rectifié par jugement du Tribunal civil de Lyon le 17 juillet 1945 et transcrit à Lyon 2e arr. le 2 août 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 30 avril 1945.
Il fut homologué au grade de lieutenant des Forces françaises combattantes (FFC) et obtint le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR).
Son nom figure sur le monument aux morts et la stèle commémorative de la SNCF, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
Il a été fusillé à l’hôtel du Centre 72 rue Mercière, à Lyon 2e (Rhône) le 2 février 1944, à 22h30. Son corps fut découvert le lendemain. Aucun élément ne précise les causes de sa mort. Fut-il abattu sur place par la Gestapo, la milice, y eut il un combat ou un engagement ?
L’acte de décès n° 210 dressé le 11 février 1944 sur la déclaration de André Cogolegnhe, inspecteur de police à Sainte-Foy-lès-Lyon est celui d’un inconnu qui donne une description très précise du signalement (description physique, signes particuliers, vêtements portés).
Son acte de décès fut rectifié par jugement du Tribunal civil de Lyon le 17 juillet 1945 et transcrit à Lyon 2e arr. le 2 août 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 30 avril 1945.
Il fut homologué au grade de lieutenant des Forces françaises combattantes (FFC) et obtint le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR).
Son nom figure sur le monument aux morts et la stèle commémorative de la SNCF, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : SHD Vincennes dossier 325059.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
