AMMAR BEN BELKACEM Souli parfois écrit BELGACEM
Né le 13 février 1910 au douar Ouled Abdi, commune mixte de l’Aurek (illisible) (Algérie), mort en action le 6 juillet 1944 à Champagne (aujourd’hui Champagne-en-Valromey, Ain) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Souli Ammar Ben Belkacem était le fils de Belkacem et de Souli Fatma et il était marié avec Saouli Messaouda Ben Belkacem Ben Mohammed. Il était domicilié au Douar Ouled Aledi.
Il entra dans la Résistance aux maquis de l’Ain comme sergent des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et fut tué dans un engagement avec l’ennemi le 6 juillet 1944 à deux heures trente, à Champagne (Ain).
L’acte de décès fut dressé le lendemain « sur la déclaration de Mr Gesler Adolphe, marchand de bestiaux demeurant à Champagne et d’un sous-officier indigène qui a reconnu formellement le corps du défunt sans pouvoir préciser son état civil complet ».
Une mention rectificative de l’acte fut faite à Paris le 30 janvier 1950.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 30 janvier 1950.
Il est inhumé dans la tombe 77 à la nécropole nationale du Val-d’Enfer, à Cerdon (Ain).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Champagne-en-Valromey et sur le monument commémoratif, avec l’orthographe Souli Aman, à Injoux-Génissiat (Ain).
Il entra dans la Résistance aux maquis de l’Ain comme sergent des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et fut tué dans un engagement avec l’ennemi le 6 juillet 1944 à deux heures trente, à Champagne (Ain).
L’acte de décès fut dressé le lendemain « sur la déclaration de Mr Gesler Adolphe, marchand de bestiaux demeurant à Champagne et d’un sous-officier indigène qui a reconnu formellement le corps du défunt sans pouvoir préciser son état civil complet ».
Une mention rectificative de l’acte fut faite à Paris le 30 janvier 1950.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 30 janvier 1950.
Il est inhumé dans la tombe 77 à la nécropole nationale du Val-d’Enfer, à Cerdon (Ain).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Champagne-en-Valromey et sur le monument commémoratif, avec l’orthographe Souli Aman, à Injoux-Génissiat (Ain).
Sources
SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
