FAUGERAS Jean, Marie, Claude
Né le 15 janvier 1935 à Limoges (Haute-Vienne), massacré le 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) ; écolier ; victime civile.
Jean Faugeras était le fils de Léon (né le 17 décembre 1902, à Oradour-sur-Glane), et de son épouse Maria née Thomas (née le 13 juillet 1904, à Oradour-sur-Glane). Ses parents s’étaient mariés le 7 décembre 1933 à Limoges.
Il était le neveu de Catherine Thomas* épouse de Pierre Bardet, parents d’Arsène*. Il était le petit neveu de Marguerite Petit* épouse de Jean Gauduffe, mère d’Anna* épouse d’André Georges Jules Desnoyers (parents d’André*, Christian André Henri*, Micheline*), sœur de sa grand-mère Anne Petit épouse de Jean Thomas.
Ses parents échappèrent au massacre, habitant Le Repaire à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich et brûlé dans l’église avec ses tantes, ses cousins et l’ensemble des femmes et des enfants d’Oradour-sur-Glane.
Jean Faugeras obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Son nom figure sur le monument commémoratif des martyrs du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.
Son oncle Aimé Faugeras, frère de son père, échappa au massacre habitant Les Cros à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944, il sera témoin au procès de Bordeaux en 1953. Il sera maire d’Oradour-sur-Glane de 1947 à 1953.
Son père décède le 16 avril 1963 et sa mère le 1er mars 1985, à Limoges.
Voir Oradour-sur-Glane
Il était le neveu de Catherine Thomas* épouse de Pierre Bardet, parents d’Arsène*. Il était le petit neveu de Marguerite Petit* épouse de Jean Gauduffe, mère d’Anna* épouse d’André Georges Jules Desnoyers (parents d’André*, Christian André Henri*, Micheline*), sœur de sa grand-mère Anne Petit épouse de Jean Thomas.
Ses parents échappèrent au massacre, habitant Le Repaire à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich et brûlé dans l’église avec ses tantes, ses cousins et l’ensemble des femmes et des enfants d’Oradour-sur-Glane.
Jean Faugeras obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Son nom figure sur le monument commémoratif des martyrs du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.
Son oncle Aimé Faugeras, frère de son père, échappa au massacre habitant Les Cros à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944, il sera témoin au procès de Bordeaux en 1953. Il sera maire d’Oradour-sur-Glane de 1947 à 1953.
Son père décède le 16 avril 1963 et sa mère le 1er mars 1985, à Limoges.
Voir Oradour-sur-Glane
Sources
SOURCES : Liste des victimes, Centre de la Mémoire d’Oradour-sur-Glane. — Guy Pauchou, Dr Pierre Masfrand, Oradour-sur-Glane, vision d’épouvante, Limoges, Lavauzelle, 1967, liste des victimes, pp. 138-194. — MémorialGenWeb. — Archives État civil de la Haute-Vienne, actes de naissances, mariages, décès, recensements.
Dominique Tantin, Isabel Val Viga
