PIOCHON Gabriel, René
Né le 6 mai 1922 à Paris (ex Seine), massacré le 5 septembre 1944 à Chapeau (Allier) ; domestique agricole ; victime civile.
Gabriel René Piochon est un ancien pupille de l’Assistance publique de la Seine.
Il était en 1944 domestique agricole, domicilié aux Mayences, une ferme de la commune de Chapeau (Allier).
Il fait partie des trois victimes civiles, avec Gilbert Jallet et Jean Thevin, eux aussi ouvriers agricoles, des combats de Chapeau ayant opposé les troupes allemandes à un groupe d’anciens membres de la garde républicaine ayant rejoint la Résistance.
Il fut abattu dans la cour de la ferme des Mayences par des Mongols russes (Ost-Truppen) servant dans l’armée allemande.
Son nom ne figure pas sur la stèle commémorative de la ferme de Mayences aux victimes militaires mais une plaque commémorative mentionne les noms des trois victimes civiles sur le bâtiment de la grange de la ferme des Mayences ( commune de Chapeau Allier) devant lequel ils ont été fusillés. Les impacts de balles sont toujours visibles.
La mention Mort pour la France lui a été attribuée par l’ONAC de Caen le 15 mars 2021. Il n’a néanmoins pas de dossier de victime civile.
Il était en 1944 domestique agricole, domicilié aux Mayences, une ferme de la commune de Chapeau (Allier).
Il fait partie des trois victimes civiles, avec Gilbert Jallet et Jean Thevin, eux aussi ouvriers agricoles, des combats de Chapeau ayant opposé les troupes allemandes à un groupe d’anciens membres de la garde républicaine ayant rejoint la Résistance.
Il fut abattu dans la cour de la ferme des Mayences par des Mongols russes (Ost-Truppen) servant dans l’armée allemande.
Son nom ne figure pas sur la stèle commémorative de la ferme de Mayences aux victimes militaires mais une plaque commémorative mentionne les noms des trois victimes civiles sur le bâtiment de la grange de la ferme des Mayences ( commune de Chapeau Allier) devant lequel ils ont été fusillés. Les impacts de balles sont toujours visibles.
La mention Mort pour la France lui a été attribuée par l’ONAC de Caen le 15 mars 2021. Il n’a néanmoins pas de dossier de victime civile.
Sources
SOURCES : Farid Sbay, “Le 5 septembre 1944 à Chapeau, quinze gendarmes ont lutté jusqu’au sacrifice ultime, La Montagne, édition Moulins, Allier, 24 octobre 2014 .— Thierry Michaud, Histoire de la gendarmerie du Bourbonnais, Puy Guillaume , éd. Adequat, 2010 .— Site Internet sur le Bourbonnais .— Information communiquée par Françoise PINEL (mars 2022). — État civil Chapeau.
Eric Panthou
