LE MÉZO Eugène
Né le 1er mars 1920 à Pluméliau (Morbihan), tué au combat le 8 juin 1944 à Guémené-sur-Scorff (Morbihan) ; résistant ; FTPF-FFI.
SOURCE : ANACR-56
À Manédol en Locmalo
Sur le monument de Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau
SOURCE : Photos J-P. et J. Husson
Eugène Le Mézo était le fils d’Eugène Le Mézo, charron, et de Françoise Mallardé, son épouse, ménagère, domiciliés à Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau (Morbihan).
Il s’engagea dans les Francs-tireurs et partisans français (FTPF).
En juin 1944, le Comité militaire régional (CMR) donna l’ordre d’attaquer les établissements scolaires de Guémené pour tenter de délivrer les nombreux résistants qui y étaient emprisonnés. Dans la nuit du 7 au 8 juin 1944, quatre groupes FTPvenus en camion de Saint-Nicolas-des-Eaux se cachèrent dans une prairie au lieu-dit Manédol en Locmalo (Morbihan), en attendant le retour des éclaireurs partis en reconnaissance. Le camion fut repéré par un détachement de cyclistes allemands qui ouvrirent le feu sur les FTP. Eugène Le Mézo fut blessé à la cuisse et une habitante de Manédol, Marie Le Lamer, qui se portait à son secours, fut mortellement blessée. Émile Le Mézo fut emmené dans une voiture et fut porté disparu.
Le site Mémoire des hommes le dit « tué au combat » le 8 juin 1944 à Guémené-sur-Scorff (Morbihan), date et lieu portés en marge de son acte de naissance en mairie de Pluméliau. mais le service de l’état civil de cette ville n’en trouve pas trace.
Eugène Le Mézo a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI.
Dans le Morbihan, une stèle a été érigée à Locmalo sur le lieu où il a été blessé avant de disparaître, et le nom d’Eugène Le Mézo est inscrit sur le monument commémoratif de Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau.
Il s’engagea dans les Francs-tireurs et partisans français (FTPF).
En juin 1944, le Comité militaire régional (CMR) donna l’ordre d’attaquer les établissements scolaires de Guémené pour tenter de délivrer les nombreux résistants qui y étaient emprisonnés. Dans la nuit du 7 au 8 juin 1944, quatre groupes FTPvenus en camion de Saint-Nicolas-des-Eaux se cachèrent dans une prairie au lieu-dit Manédol en Locmalo (Morbihan), en attendant le retour des éclaireurs partis en reconnaissance. Le camion fut repéré par un détachement de cyclistes allemands qui ouvrirent le feu sur les FTP. Eugène Le Mézo fut blessé à la cuisse et une habitante de Manédol, Marie Le Lamer, qui se portait à son secours, fut mortellement blessée. Émile Le Mézo fut emmené dans une voiture et fut porté disparu.
Le site Mémoire des hommes le dit « tué au combat » le 8 juin 1944 à Guémené-sur-Scorff (Morbihan), date et lieu portés en marge de son acte de naissance en mairie de Pluméliau. mais le service de l’état civil de cette ville n’en trouve pas trace.
Eugène Le Mézo a obtenu la mention « Mort pour la France » et a été homologué FFI.
Dans le Morbihan, une stèle a été érigée à Locmalo sur le lieu où il a été blessé avant de disparaître, et le nom d’Eugène Le Mézo est inscrit sur le monument commémoratif de Saint-Nicolas-des-Eaux en Pluméliau.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 77 782. — SHD, Vincennes, GR 16 P 361010. — Roger Leroux, <i<Le Morbihan en guerre 1939-1945, Joseph Floch imprimeur éditeur à Mayenne, 1978.7 — Ami, entends-tu... (photo), ANACR-56, n° 89, 2e trimestre 1994. — Site Mémoire des hommes. — Mémorial GenWeb. — État civil, Pluméliau (acte de naissance).
Jean-Pierre Husson, Jocelyne Husson
