BLACHE Valentine Andréa, née MARMONNIER
Née le 24 juillet 1890 à Saint Priest-Manissieu (Isère, aujourd’hui Rhône), massacrée le 28 août 1944 à Saint Symphorien-d’Ozon (Isère, aujourd’hui Rhône) ; victime civile.
Valentine Andrée Marmonnier était la fille de Claude et de Marguerite Laurencin.
Elle épousa Gabriel, Albert Blache, alors mobilisé au 158ème régiment d’infanterie, le 1er juin 1918 à Saint Symphorien-d’Ozon (Isère, aujourd’hui Rhône).
Valentine et Gabriel Blache étaient domiciliés à Saint Symphorien-d’Ozon où ils étaient cultivateurs.
Le 28 août 1944, une colonne hippomobile composée de soldats « mongols » commandés par des officiers allemands vint stationner à Saint Symphorien-d’Ozon.
Des maquisards firent une incursion et capturèrent un officier et un soldat.
Les officiers allemands décidèrent alors d’une opération de représailles.
Les soldats arrosèrent les rues et les façades de balles et plusieurs personnes furent atteintes.
Parmi elles, Valentine Blache, qui fut touchée par trois balles dans la tête et une balle explosive au poignet alors qu’elle essayait de fermer ses volets et qui mourut sur le coup.
Elle obtint la mention « Morte pour la France » le 19 juillet 1945.
Notice en cours de rédaction.
Elle épousa Gabriel, Albert Blache, alors mobilisé au 158ème régiment d’infanterie, le 1er juin 1918 à Saint Symphorien-d’Ozon (Isère, aujourd’hui Rhône).
Valentine et Gabriel Blache étaient domiciliés à Saint Symphorien-d’Ozon où ils étaient cultivateurs.
Le 28 août 1944, une colonne hippomobile composée de soldats « mongols » commandés par des officiers allemands vint stationner à Saint Symphorien-d’Ozon.
Des maquisards firent une incursion et capturèrent un officier et un soldat.
Les officiers allemands décidèrent alors d’une opération de représailles.
Les soldats arrosèrent les rues et les façades de balles et plusieurs personnes furent atteintes.
Parmi elles, Valentine Blache, qui fut touchée par trois balles dans la tête et une balle explosive au poignet alors qu’elle essayait de fermer ses volets et qui mourut sur le coup.
Elle obtint la mention « Morte pour la France » le 19 juillet 1945.
Notice en cours de rédaction.
Sources
SOURCES : Arch. dép. Rhône, Mémorial de l’Oppression 3808W628 — Etat civil
Jean-Luc Marquer
