HENNEVILLE Lucien
Né le 30 juillet 1917 à Sermaize-les-Bains (Marne), mort en action le 21 août 1944 à Origny-le-Sec (Aube) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Fils de Pierre Henneville, ouvrier raffineur, et de Léontine Pouisart, manouvrière, Lucien Henneville s’était marié le 2 avril 1930 à Mailly-le-Camp (Aube) avec Lucie Duché, puis épousa en secondes noces Thérèse Eugénie Rigault le 1er avril 1940 à Châlons-sur-Marne (Marne).
Il appartenait à la Résistance auboise et fut tué au retour d’une mission le 21 août 1944 à 17 heures, dans un engagement avec l’ennemi au lieu-dit "Le Grand Canton", à Origny-le-Sec (Aube).
L’acte de décès fut dressé le lendemain au nom d’un inconnu dont « Le signalement est le suivant : âge approximatif vingt-sept ans, taille un mètre soixante quinze, cheveux très clair, pas de moustache ; - chemise kaki rayée, culotte drap bleu-marine, vareuse bleu-marine, mi-bas beiges, ceinture cuir, pas de chaussures ; dans une poche de la culotte, il a été trouvé : un couteau deux lames à manche en fer et un peigne ; signe particulier un pansement à l’annulaire gauche ».
Son identité fut reconnue par jugement du Tribunal de Nogent-sur-Seine (Aube) rendu le 5 janvier 1945 et transcrit le 23 janvier 1945 à Origny-le-Sec.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative, érigée sur la RD 116, à Origny-le-Sec et sur le monument commémoratif, à Rigny-la-Noneuse (Aube).
Il appartenait à la Résistance auboise et fut tué au retour d’une mission le 21 août 1944 à 17 heures, dans un engagement avec l’ennemi au lieu-dit "Le Grand Canton", à Origny-le-Sec (Aube).
L’acte de décès fut dressé le lendemain au nom d’un inconnu dont « Le signalement est le suivant : âge approximatif vingt-sept ans, taille un mètre soixante quinze, cheveux très clair, pas de moustache ; - chemise kaki rayée, culotte drap bleu-marine, vareuse bleu-marine, mi-bas beiges, ceinture cuir, pas de chaussures ; dans une poche de la culotte, il a été trouvé : un couteau deux lames à manche en fer et un peigne ; signe particulier un pansement à l’annulaire gauche ».
Son identité fut reconnue par jugement du Tribunal de Nogent-sur-Seine (Aube) rendu le 5 janvier 1945 et transcrit le 23 janvier 1945 à Origny-le-Sec.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la stèle commémorative, érigée sur la RD 116, à Origny-le-Sec et sur le monument commémoratif, à Rigny-la-Noneuse (Aube).
Sources
SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil.
Jean-Louis Ponnavoy
