ALBIN Raymond, Fernand, Marius
Né le 21 février 1911 à Pignans (Var), mort au combat à Nice (Alpes-Maritimes) le 28 août 1944 ; chauffeur-mécanicien ; militant communiste ; résistant FTP.
Raymond Albin était marié sans enfants.
Entré dans la Résistance en juillet 1943, il intégra successivement la 9e puis la 36e compagnie FTPF de Provence, au sein de laquelle son ardent patriotisme et plusieurs actions (sabotage des fortifications ennemies, coup de main contre la Manufacture des Tabacs, récupération de tickets d’alimentation) lui valurent le grade de sous-lieutenant dans le groupe Laurel du secteur Nice-Est.
Le jour de l’insurrection niçoise, il organisa son détachement, chargé de défendre la place Arson. Il trouva la mort à 14 heures, abattu par un membre du PPF aux côtés de son chef Antoine Anelli, qui le transporta vainement à l’école Barla transformée en infirmerie.
Une plaque fut inaugurée sur les lieux de sa mort en août 1946.
Entré dans la Résistance en juillet 1943, il intégra successivement la 9e puis la 36e compagnie FTPF de Provence, au sein de laquelle son ardent patriotisme et plusieurs actions (sabotage des fortifications ennemies, coup de main contre la Manufacture des Tabacs, récupération de tickets d’alimentation) lui valurent le grade de sous-lieutenant dans le groupe Laurel du secteur Nice-Est.
Le jour de l’insurrection niçoise, il organisa son détachement, chargé de défendre la place Arson. Il trouva la mort à 14 heures, abattu par un membre du PPF aux côtés de son chef Antoine Anelli, qui le transporta vainement à l’école Barla transformée en infirmerie.
Une plaque fut inaugurée sur les lieux de sa mort en août 1946.
Sources
SOURCES : Jean-Louis Panicacci, Les lieux de mémoire de la deuxième Guerre mondiale dans les Alpes-Maritimes, Nice, Serre, 1997 — Ville de Nice, La liste : 28 août 1944. Ils sont morts en héros pour libérer leur ville, 2014 — Michel Goury, Notre liberté, les martyrs niçois du 28 août 1944, Nice, Mémoires millénaires, 2019.
Jean-Louis Panicacci
