VALENTIN Jean, Georges
Né le 23 février 1926 à Pont-de-Poitte (Jura), mort en action le 17 juillet 1944 à Échallon (Ain) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Jean Valentin était le fils de Paul Georges et de Marie-Claude Albine Buffard. Il était célibataire
Le 11 juillet 1944, l’ennemi lançait l’opération "Treffenfeld" contre les maquis de l’Ain et du Haut-Jura. Le 19 juillet la chasse aux maquisards se poursuivait. Un groupe de maquisards fut cerné dans la forêt du Fouget entre Oyonnax et Echallon (Ain). Trois d’entre eux furent tués à l’ennemi le 19 juillet à dix heures au lieu-dit "La Prairie"dont Jean Valentin. Seize autres furent capturés et conduits à Dortan où ils furent torturés toute une nuit puis exécutés.
L’acte de décès fut dressé le 20 juillet au nom d’un inconnu sur la déclaration de Josephte Bret, âgé de 63 ans, garde champêtre à Échallon. Il fut l’objet d’un jugement rectificatif du Tribunal civil de Nantua en date du 2 février 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès.
Il fut homologué comme soldat des forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument commémoratif des parachutages des armées alliées, à Échallon (Ain) et sur le monument aux morts, à Pont-de-Poitte (Jura).
Le 11 juillet 1944, l’ennemi lançait l’opération "Treffenfeld" contre les maquis de l’Ain et du Haut-Jura. Le 19 juillet la chasse aux maquisards se poursuivait. Un groupe de maquisards fut cerné dans la forêt du Fouget entre Oyonnax et Echallon (Ain). Trois d’entre eux furent tués à l’ennemi le 19 juillet à dix heures au lieu-dit "La Prairie"dont Jean Valentin. Seize autres furent capturés et conduits à Dortan où ils furent torturés toute une nuit puis exécutés.
L’acte de décès fut dressé le 20 juillet au nom d’un inconnu sur la déclaration de Josephte Bret, âgé de 63 ans, garde champêtre à Échallon. Il fut l’objet d’un jugement rectificatif du Tribunal civil de Nantua en date du 2 février 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » portée sur son acte de décès.
Il fut homologué comme soldat des forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument commémoratif des parachutages des armées alliées, à Échallon (Ain) et sur le monument aux morts, à Pont-de-Poitte (Jura).
Sources
SOURCES : Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
