STAINMESSE Albert, Félix, Marius
Né le 1er juin 1922 à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire), mort en action le 8 septembre 1944 à Autun (Saône-et-Loire) ; résistant des Francs-tireurs et partisans (FTPF) et des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Albert Stainmesse était le fils de Jules et de Jeanne Euphrasie Ducarouge. Il était marié avec Marcelle Marie Laforet et domicilié à Montceau-les-Mines. Il exerçait la profession d’ouvrier mineur aux houillères de Blanzy.
Après le Débarquement du 6 juin 1944, il rejoignit la Résistance au maquis FTP d’Uchon, devenu le régiment Valmy.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun. L’attaque échoua et Albert Stainmesse fut tué dans Secteur de l’École militaire avec 3 de ses compagnons d’armes originaires de pologne, Joseph Szwiec, François Warzaszka et Jan Kocik..
Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
L’acte de décès fut dressé le 20 septembre 1944 sur la déclaration de Laurent Lassalle, économe des hospices, à Autun.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 16 juillet 1945.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative aux FFI apposée contre le mur du cimetière, à Autun et sur le monument aux morts de Magny, à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire).
Voir notice Vercruysse Jules Joseph
Après le Débarquement du 6 juin 1944, il rejoignit la Résistance au maquis FTP d’Uchon, devenu le régiment Valmy.
Le vendredi 8 au matin, sans attendre les armées régulières qui approchaient, 4 bataillons du régiment se lancèrent sous la pluie à l’assaut de la ville d’Autun. L’attaque échoua et Albert Stainmesse fut tué dans Secteur de l’École militaire avec 3 de ses compagnons d’armes originaires de pologne, Joseph Szwiec, François Warzaszka et Jan Kocik..
Le 10 septembre Autun était libérée par l’action conjuguée des FTP du régiment Valmy, des FFI du sud-ouest (colonne Schneider, Corps-franc Pommiès) et des maquis de Saône-et-Loire (Serge, Maurice, Socrate) renforcé par le 2e dragons du lieutenant-colonel Demetz, avant-garde de l’armée B du général de Lattre.
L’acte de décès fut dressé le 20 septembre 1944 sur la déclaration de Laurent Lassalle, économe des hospices, à Autun.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 16 juillet 1945.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur la plaque commémorative aux FFI apposée contre le mur du cimetière, à Autun et sur le monument aux morts de Magny, à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire).
Voir notice Vercruysse Jules Joseph
Sources
SOURCES : Journal de Saône-et-Loire du 11 septembre 2001 Trois jours de combats pour libérer la ville et Traces de mémoire, supplément au journal de Saône-et-Loire du 31 août 2004.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-louis Ponnavoy
