GUYENNET Adrien, François
Né le 30 janvier 1914 à Saint-Étienne-sur-Chalaronne (Ain), mort en mission le 19 août 1944 à Mâcon (Saône-et-Loire) ; chauffeur ; résistant de l’armée secrète (AS).
Adrien Guyennet était le fils de Mathieu François Marie, âgé de 42 ans et de Claudine Élisabeth Chauveaux, âgée de 38 ans, tous deux cultivateurs au hameau de Torterelle. Il se maria le 5 novembre 1942 à Grièges (Ain) avec Marie Hélène Dravet. Il était domicilié à Pont-de-Veyle (Ain) et exerçait le métier de chauffeur.
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) de Crottet créée par le maire socialiste de Crottet, Armand Veille.
Le 19 août, Armand Veille, partit en mission de ravitaillement d’essence pour le maquis à Mâcon, accompagné de deux hommes. A Saint-Clément-lès-Mâcon, ancienne commune intégrée à Mâcon, le véhicule fut arrêté par la Feldgendarmerie pour un contrôle. Un des maquisards Eloi Pichon s’affola et tira sur les Allemands qu’il manqua et se fit tuer. Armand Veille exhorta alors Adrien Guyennet à s’enfuir, mais celui-ci fut fait prisonnier et fusillé à 17 heures.
Il obtint la mention « Mort pour la France »
Armand Veille se précipita vers le couloir d’un immeuble, et s’écroula, mortellement atteint, sur le trottoir.
Son nom figure sur la plaque commémorative apposée en face de l’église Saint-Clément, à Mâcon (Saône-et-Loire), sur la stèle commémorative érigée rue de Verchère et sur le monument aux morts, à Pont-de-Veyle (Ain).
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) de Crottet créée par le maire socialiste de Crottet, Armand Veille.
Le 19 août, Armand Veille, partit en mission de ravitaillement d’essence pour le maquis à Mâcon, accompagné de deux hommes. A Saint-Clément-lès-Mâcon, ancienne commune intégrée à Mâcon, le véhicule fut arrêté par la Feldgendarmerie pour un contrôle. Un des maquisards Eloi Pichon s’affola et tira sur les Allemands qu’il manqua et se fit tuer. Armand Veille exhorta alors Adrien Guyennet à s’enfuir, mais celui-ci fut fait prisonnier et fusillé à 17 heures.
Il obtint la mention « Mort pour la France »
Armand Veille se précipita vers le couloir d’un immeuble, et s’écroula, mortellement atteint, sur le trottoir.
Son nom figure sur la plaque commémorative apposée en face de l’église Saint-Clément, à Mâcon (Saône-et-Loire), sur la stèle commémorative érigée rue de Verchère et sur le monument aux morts, à Pont-de-Veyle (Ain).
Sources
SOURCES : Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne, Plaque à la mémoire d’A. Veille, A Guyennet et E. Pichon, Mâcon (Saône-et-Loire).— Mémorial Genweb.— État civil (actes de naissance et décès).
Jean-Louis Ponnavoy
