ROVEREDO François
Né le 27 février 1896 à Valino ou Valincio (Roumanie), mort en action le 6 août 1944 à Saint-Pierre (Jura) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
François Roveredo était le fils de Joanny et de Eugénie Paretto. Il était divorcé et domicilié à Saint-Étienne (Loire).
Il entra dans la Résistance dans le Jura et fut tué au combat dans un engagement avec l’ennemi le 6 août 1944 au lieu-dit "Le Ratay", territoire de la commune de Saint-Pierre (Jura). Son corps fut retrouvé et le décès constaté le 10 août, la mort paraissant remonter à quatre jours. Il fut dressé au nom d’un inconnu le 11 août sur la déclaration de René Marcel Élisée Bouvier, 36 ans, garde champêtre domicilié à La Chaux-du-Dombief (Jura).
Le signalement donné était le suivant : « taille 1 mètre 68 environ ; cheveux brun grisonnants rejetés en arrière ; visage ovale avec larges maxillaires nez rectiligne ; large à la base, front très découvert, yeux marron clair, bouche moyenne ; menton légèrement fuyant, portant une cicatrice de 3 centimètres de longueur en dessous ; âge apparent 40 ans. Vêtu d’un tricot en laine bleu marine, d’un caleçon blanc, d’une veste de treillis de couleur brune, d’un blouson de cuir marron à fermeture éclair, d’un pantalon de treillis de couleur kaki, d’un foulard rouge. Chaussé de chaussettes grises et de souliers bas genre cycliste, et coiffé d’un béret basque noir portant un insigne tricolore. »
L’acte de décès fut l’objet d’un jugement rectificatif du Tribunal civil de première instance de Saint-Claude (Jura) le 8 novembre 1945, transcrit le 6 décembre 1945 à Saint-Pierre.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945, à Saint-Pierre (Jura).
Il fut homologué comme SHD Vincennes GR 16 P 526121 qui ne mentionne pas l’homologation FFI.
Il entra dans la Résistance dans le Jura et fut tué au combat dans un engagement avec l’ennemi le 6 août 1944 au lieu-dit "Le Ratay", territoire de la commune de Saint-Pierre (Jura). Son corps fut retrouvé et le décès constaté le 10 août, la mort paraissant remonter à quatre jours. Il fut dressé au nom d’un inconnu le 11 août sur la déclaration de René Marcel Élisée Bouvier, 36 ans, garde champêtre domicilié à La Chaux-du-Dombief (Jura).
Le signalement donné était le suivant : « taille 1 mètre 68 environ ; cheveux brun grisonnants rejetés en arrière ; visage ovale avec larges maxillaires nez rectiligne ; large à la base, front très découvert, yeux marron clair, bouche moyenne ; menton légèrement fuyant, portant une cicatrice de 3 centimètres de longueur en dessous ; âge apparent 40 ans. Vêtu d’un tricot en laine bleu marine, d’un caleçon blanc, d’une veste de treillis de couleur brune, d’un blouson de cuir marron à fermeture éclair, d’un pantalon de treillis de couleur kaki, d’un foulard rouge. Chaussé de chaussettes grises et de souliers bas genre cycliste, et coiffé d’un béret basque noir portant un insigne tricolore. »
L’acte de décès fut l’objet d’un jugement rectificatif du Tribunal civil de première instance de Saint-Claude (Jura) le 8 novembre 1945, transcrit le 6 décembre 1945 à Saint-Pierre.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945, à Saint-Pierre (Jura).
Il fut homologué comme SHD Vincennes GR 16 P 526121 qui ne mentionne pas l’homologation FFI.
Sources
SOURCES : Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne, Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance des Alsaciens (2016).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
