THOMAS Jean
Né le 25 juillet 1930 à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), massacré le 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane ; écolier ; victime civile.
Jean Thomas était le fils de Gabriel (né le 3 septembre 1898, à Oradour-sur-Glane), cimentier, et de son épouse Justine née Lévêque (née le 25 avril 1904, à Saint-Auvent). Ses parents s’étaient mariés le 23 octobre 1926 à Saint-Auvent.
Il était le deuxième d’une fratrie de sept enfants, Pierre (né le 21 juin 1928), Jeanne (née le 17 juin 1932), Madeleine* (née le 29 mars 1934), Louis (né le 15 octobre 1935 et décédé le 12 novembre 1935, à Oradour-sur-Glane), Anne-Marie* (née le 17 février 1939), Henri (né en 1944), nés à Oradour-sur-Glane.
Ses parents, ses frères et sa sœur Jeanne échappèrent au massacre, habitant Les Carderies à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich et brûlé dans l’église avec ses sœurs et l’ensemble des femmes et des enfants d’Oradour-sur-Glane.
Jean Thomas obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Son nom figure sur le monument commémoratif des martyrs du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.
Ses parents, ses frères et sa sœur Jeanne, seront des habitants du village provisoire.
Son père décède le 5 mars 1992 et sa mère le 23 décembre 2002, à Oradour-sur-Glane.
Son frère Pierre, soldat, décède le 28 juin 1948 à Casablanca (Maroc).
Sa sœur Jeanne épousera le 30 janvier 1959 à Oradour-sur-Glane, Robert Jean Bourot (né le 18 novembre 1929, à Paris XVIIIe arr. et décédé le 17 août 1991, à Vierzon, Cher).
Voir Oradour-sur-Glane
Il était le deuxième d’une fratrie de sept enfants, Pierre (né le 21 juin 1928), Jeanne (née le 17 juin 1932), Madeleine* (née le 29 mars 1934), Louis (né le 15 octobre 1935 et décédé le 12 novembre 1935, à Oradour-sur-Glane), Anne-Marie* (née le 17 février 1939), Henri (né en 1944), nés à Oradour-sur-Glane.
Ses parents, ses frères et sa sœur Jeanne échappèrent au massacre, habitant Les Carderies à Oradour-sur-Glane, hameau non raflé le 10 juin 1944.
Il fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich et brûlé dans l’église avec ses sœurs et l’ensemble des femmes et des enfants d’Oradour-sur-Glane.
Jean Thomas obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Son nom figure sur le monument commémoratif des martyrs du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.
Ses parents, ses frères et sa sœur Jeanne, seront des habitants du village provisoire.
Son père décède le 5 mars 1992 et sa mère le 23 décembre 2002, à Oradour-sur-Glane.
Son frère Pierre, soldat, décède le 28 juin 1948 à Casablanca (Maroc).
Sa sœur Jeanne épousera le 30 janvier 1959 à Oradour-sur-Glane, Robert Jean Bourot (né le 18 novembre 1929, à Paris XVIIIe arr. et décédé le 17 août 1991, à Vierzon, Cher).
Voir Oradour-sur-Glane
Sources
SOURCES : Liste des victimes, Centre de la Mémoire d’Oradour-sur-Glane. — Guy Pauchou, Dr Pierre Masfrand, Oradour-sur-Glane, vision d’épouvante, Limoges, Lavauzelle, 1967, liste des victimes, pp. 138-194. — MémorialGenWeb. — Archives État civil de la Haute-Vienne, actes de naissances, mariages, décès, recensements. — Geneanet-Oradour-sur-Glane.
Dominique Tantin, Isabel Val Viga
