HUGUES Marcel, Fernand
Né le 24 novembre 1926 à Longchaumois (Jura), exécuté sommairement le 13 juillet 1944 à Bourg, aujourd’hui Bourg-en-Bresse (Ain) ; manœuvre ; victime civile ?.
Marcel Hugues était le fils de Jules Hugues, tourneur et de Rose Parriaux, sans profession, domiciliés à Lavans-lès-Saint-Claude. Il était célibataire et exerçait le métier de manœuvre.
Il fut arrêté sans doute dans la rafle du 10 juillet 1944 à Bourg et fusillé le 13 juillet 1944 vers 23 heures à la caserne Brouet, rue du 23e à Bourg (Ain).
L’acte de décès fut dressé le 15 juillet 1944 au nom d’un inconnu sur la déclaration de Henri Chaprier, 43 ans, commissaire de police, domicilié à Bourg. Le signalement était le suivant : « âge vingt-trois ans environ. Taille : un mètre soixante six centimètres à un mètre soixante huit centimètres environ. Cheveux : châtain foncé très abondants. Yeux marrons. Dentition saine. Front très large et plat. Vêtu d’un costume drap marron "Aux deux passages", Saint-Claude. Ceinture de cuir. Chemise bleue. Pull-over à col roulé en laine marron. Chaussures de ville noires. Portait à l’auriculaire gauche une bague en métal argenté. » Il fut identifié par un jugement rectificatif du Tribunal civil de Bourg rendu le 4 avril 1945 et transcrit le 24 septembre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » (note du ministère des Anciens combattants et victimes de guerre à Paris en date du 2 septembre 1947).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Lavans-lès-Saint-Claude (Jura).
Il fut arrêté sans doute dans la rafle du 10 juillet 1944 à Bourg et fusillé le 13 juillet 1944 vers 23 heures à la caserne Brouet, rue du 23e à Bourg (Ain).
L’acte de décès fut dressé le 15 juillet 1944 au nom d’un inconnu sur la déclaration de Henri Chaprier, 43 ans, commissaire de police, domicilié à Bourg. Le signalement était le suivant : « âge vingt-trois ans environ. Taille : un mètre soixante six centimètres à un mètre soixante huit centimètres environ. Cheveux : châtain foncé très abondants. Yeux marrons. Dentition saine. Front très large et plat. Vêtu d’un costume drap marron "Aux deux passages", Saint-Claude. Ceinture de cuir. Chemise bleue. Pull-over à col roulé en laine marron. Chaussures de ville noires. Portait à l’auriculaire gauche une bague en métal argenté. » Il fut identifié par un jugement rectificatif du Tribunal civil de Bourg rendu le 4 avril 1945 et transcrit le 24 septembre 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » (note du ministère des Anciens combattants et victimes de guerre à Paris en date du 2 septembre 1947).
Son nom figure sur le monument aux morts, à Lavans-lès-Saint-Claude (Jura).
Sources
SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
