OLLIVIER Louise, Jeanne [née TAIX]
Née le 13 novembre 1918 à Marseille (Bouches-du-Rhône), sommairement exécutée le 16 août 1944 à Allemont ou Allemond (Isère) ; sans profession connue ; résistante de l’Armée secrète, homologuée Forces françaises de l’Intérieur, homologuée D.I.R.
Louise, Jeanne Taix était la fille d’Albert, Maurice, Adrien, coiffeur, et de Zoé, Rosalie, Eulalie Faure, ménagère, son épouse. Ses parents étaient domiciliés à Grenoble en 1944.
Louise Jeanne Taix épousa Roger Ollivier. Ils habitaient à Vizille (Isère).
Tous deux faisaient partie de la Résistance .
Le 16 août 1944 vers 10 heures, Louise et Roger Ollivier et trois autres membres du maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère, André Le Barbu, sa femme Raymonde Le Barbu et Erminio Bellotto, furent surpris par une patrouille allemande alors qu’ils dormaient dans un chalet au lieu-dit "Les Granges" à Allemont ou Allemond (Isère).
Le chalet fut mitraillé, et une fois les blessés achevés, il fut brûlé avec les corps.
Louise Ollivier fut homologuée membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Elle obtint le titre d’Interné Résistant et la mention « Mort pour la France » et fut décorée de la médaille de la Résistance à titre posthume.
Son nom figure sur le monument aux morts d’Allemont et sur celui de Vizille (Isère), sur la stèle commémorative temporaire érigée par l’amicale du 140 RIA à Allemont sur le lieu du massacre, sur celle érigée sur le lieu du massacre de Léon Savioux et Albert Angelier à la fonderie d’Allemont, et sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet (Isère).
Voir : Allemont
Notice provisoire
Louise Jeanne Taix épousa Roger Ollivier. Ils habitaient à Vizille (Isère).
Tous deux faisaient partie de la Résistance .
Le 16 août 1944 vers 10 heures, Louise et Roger Ollivier et trois autres membres du maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère, André Le Barbu, sa femme Raymonde Le Barbu et Erminio Bellotto, furent surpris par une patrouille allemande alors qu’ils dormaient dans un chalet au lieu-dit "Les Granges" à Allemont ou Allemond (Isère).
Le chalet fut mitraillé, et une fois les blessés achevés, il fut brûlé avec les corps.
Louise Ollivier fut homologuée membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Elle obtint le titre d’Interné Résistant et la mention « Mort pour la France » et fut décorée de la médaille de la Résistance à titre posthume.
Son nom figure sur le monument aux morts d’Allemont et sur celui de Vizille (Isère), sur la stèle commémorative temporaire érigée par l’amicale du 140 RIA à Allemont sur le lieu du massacre, sur celle érigée sur le lieu du massacre de Léon Savioux et Albert Angelier à la fonderie d’Allemont, et sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet (Isère).
Voir : Allemont
Notice provisoire
Sources
Sources : Arch. dép. Rhône, Mémorial de l’Oppression : 3808W416 et 424 — SHD Vincennes, GR 19 P 38/4 ; GR 16 P 561050 (à consulter)— AVCC Caen 21 P 107734 (à consulter) — http://www.maquisdeloisans.fr — Mémorial GenWeb — Mémoire des hommes — État civil
Jean-Luc Marquer
