SIMONDON Auguste, Marie alias SIMONET
Né le 21 janvier 1903 à Lyon, 2e arr. (Rhône) , fusillé le 9 août 1944 à Saint-Symphorien (commune de Tours, Indre-et-Loire) ; mécanicien ; résistant du réseau Marco Polo.
Auguste Simondon était le fils de Claude Simondon, cultivateur et fossoyeur et de Jeanne, Marie Bost, sans profession, domiciliés rue de la Ratière à Brignais (Rhône).
Célibataire, titulaire du Certificat d’études primaires, il travaillait comme mécanicien. Il habitait chez ses parents.
Résistant, Auguste Simondon intégra en mars 1944, le réseau Marco Polo, sous réseau Baobab, commandé par Michel. Sous le pseudonyme Simonet, il était agent de liaison au 2e Bureau à Tours (Indre-et-Loire). Il y fut arrêté le 22 juillet 1944 à l’Hôtel des Halles.
Le 9 août 1944, à l’approche des troupes américaines du général Patton et à la veille du départ des troupes allemandes d’occupation, Auguste Simondon et 25 autres prisonniers furent extraits de la prison et conduits au camp d’aviation de Parçay-Meslay. Après leur exécution par balles, les 26 corps furent sommairement enfouis dans des trous de bombes.
Fin août, leurs corps furent découverts sans papiers d’identité dans un charnier puis inhumés au cimetière de Saint-Symphorien après des obsèques officielles.
Auguste Simondon a été reconnu Mort pour la France (décision en date du 18 octobre 1947)
Agent P2 depuis le 1er février 1944, il a été homologué sous-lieutenant FFCI (décret du 14 novembre 1946, J.O. du 25 novembre 1946) et Interné résistant le 15 juin 1953.
Son nom est inscrit sur le monument érigé « A la mémoire des 26 victimes de la barbarie allemande fusillés au camp d’aviation de Saint-Symphorien - le 9 août 1944 » dans le cimetière Saint-Symphorien-Tours (partie nord) et sur le monument « Aux martyrs de la résistance d’Indre-et-Loire », érigé à l’entrée de la base aérienne 705.
Saint-Symphorien – Tours (Indre-et-Loire) 9 août 1944
Célibataire, titulaire du Certificat d’études primaires, il travaillait comme mécanicien. Il habitait chez ses parents.
Résistant, Auguste Simondon intégra en mars 1944, le réseau Marco Polo, sous réseau Baobab, commandé par Michel. Sous le pseudonyme Simonet, il était agent de liaison au 2e Bureau à Tours (Indre-et-Loire). Il y fut arrêté le 22 juillet 1944 à l’Hôtel des Halles.
Le 9 août 1944, à l’approche des troupes américaines du général Patton et à la veille du départ des troupes allemandes d’occupation, Auguste Simondon et 25 autres prisonniers furent extraits de la prison et conduits au camp d’aviation de Parçay-Meslay. Après leur exécution par balles, les 26 corps furent sommairement enfouis dans des trous de bombes.
Fin août, leurs corps furent découverts sans papiers d’identité dans un charnier puis inhumés au cimetière de Saint-Symphorien après des obsèques officielles.
Auguste Simondon a été reconnu Mort pour la France (décision en date du 18 octobre 1947)
Agent P2 depuis le 1er février 1944, il a été homologué sous-lieutenant FFCI (décret du 14 novembre 1946, J.O. du 25 novembre 1946) et Interné résistant le 15 juin 1953.
Son nom est inscrit sur le monument érigé « A la mémoire des 26 victimes de la barbarie allemande fusillés au camp d’aviation de Saint-Symphorien - le 9 août 1944 » dans le cimetière Saint-Symphorien-Tours (partie nord) et sur le monument « Aux martyrs de la résistance d’Indre-et-Loire », érigé à l’entrée de la base aérienne 705.
Saint-Symphorien – Tours (Indre-et-Loire) 9 août 1944
Sources
SOURCES : SHD Vincennes, GR 16 P 549790 . — DAVCC Caen, AC 21 P 675675 ou AC 21 P 154308 (nc). — État civil et MémorialGenweb (recherches d’Hélène Biéret),
Annie Pennetier