MERCIER René
Né le 3 mai 1922 à Saint-Point (Saône-et-Loire), Blessé au cours d’une action résistante le 4 septembre 1944 à Nanton puis mort à l’hôpital de Saint-Gengoux-le-National (Saône-et-Loire) le 4 septembre 1944 ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI) au régiment de Cluny.
René Mercier était le fils de Jean Marie et de Marie Antoinette Roberjot, cultivateurs. Il était célibataire et domicilié avec sa mère à Saint-Point, son père étant décédé avant 1944.
Il entra dans la Résistance au régiment de Cluny, 1ère compagnie, 1ère section, 2ème groupe.
Le 4 septembre 1944, son régiment arrivait en renfort du maquis de Saint-Gengoux pour la bataille de Sennecey-le-Grand. Le convoi des maquisards immobilisé dans le bois entre Chalot et Vencelles, hameaux de Nanton fut mitraillé par erreur par l’aviation alliée. Grièvement blessé, il fut transporté à l’hôpital du maquis, rue des tanneries, à Saint-Gengoux-le-National (Saône-et-Loire), où il décéda à 19 heures.
L’acte de décès fut dressé à Saint-Gengoux le 30 décembre 1944.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 19 décembre 1945.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative, à Saint-Point et sur le mémorial dit Mur de la Résistance, à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
Il entra dans la Résistance au régiment de Cluny, 1ère compagnie, 1ère section, 2ème groupe.
Le 4 septembre 1944, son régiment arrivait en renfort du maquis de Saint-Gengoux pour la bataille de Sennecey-le-Grand. Le convoi des maquisards immobilisé dans le bois entre Chalot et Vencelles, hameaux de Nanton fut mitraillé par erreur par l’aviation alliée. Grièvement blessé, il fut transporté à l’hôpital du maquis, rue des tanneries, à Saint-Gengoux-le-National (Saône-et-Loire), où il décéda à 19 heures.
L’acte de décès fut dressé à Saint-Gengoux le 30 décembre 1944.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 19 décembre 1945.
Il fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative, à Saint-Point et sur le mémorial dit Mur de la Résistance, à Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire).
Sources
SOURCES : Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy