OOMS Jean, Firmin
Né le 22 Juillet 1924 à Florange (Moselle), mort au combat le 11 juin 1944 à Pinols (Haute-Loire) ; résistant au sein des Forces Françaises Intérieures (FFI).
Fils de François Pierre Ooms, ouvrier au chemin de fer, né à Angevillers (Moselle) et de Marie Ooms, née Schleck, sans profession, née à Lixing, aujourd’hui Lixing-lès-Saint-Avold Moselle), Firmin Ooms est né à Ebange, commune de Florange, où vivaient ses parents.
Présumé réfugié en 1939 ou expulsé d’Alsace en 1940 par les autorités du Reich, Jean Ooms trouva refuge à Pont-du Château (Puy-de-Dôme) où il résidait en 1944. On ignore sa profession.
Depuis 1942 sous l’impulsion de quelques cadres de l’École militaire de Billom (Puy-de-Dôme) s’organisa dans ce canton des poches de résistance. L’arrivée le dernier trimestre 1943, de l’État-Major des Mouvements Unis de la Résistance (Gaspard, Prince, Bénévol) au château des Salles à Neuville (Puy-de-Dôme) donna une impulsion très forte au mouvement de la résistance. Comme de très nombreux résistants de la région Jean Ooms répondit à l’ordre du Colonel Gaspard du 20 mai 1944 : « Tous ceux qui le peuvent doivent rejoindre le Mont-Mouchet (Haute-Loire) ».
Le 26 mai 1944 il rejoignit la 14ème Compagnie du Mont-Mouchet sous les ordres du Capitaine Bertrand. Le 11 juin 1944 lors de l’assaut allemand, Jean Ooms fut positionné avec d’autres résistants sur les hauteurs du Pont de Crépoux avec pour objectif de bloquer et interdire le passage des assaillants qui faisaient route vers le Mont-Mouchet. Face à un groupe aguerri et supérieur en matériel, les résistants furent fortement malmenés. Cette opération se solda par de nombreux tués et massacrés, au moins 23 d’après E. Rispal. Il fut tué lors de ce combat au Pont du Crépoux commune de Pinols le 11 juin 1944.
Sa mère demeurait alors à Florange tandis que son père était décédé.
Il a été reconnu « Mort pour la France » et homologué FFI
Son nom est inscrit sur le Monument aux Morts et le Calvaire de Pont-du-Château , sur la stèle commémorative de Chignat commune de Vertaizon.
Présumé réfugié en 1939 ou expulsé d’Alsace en 1940 par les autorités du Reich, Jean Ooms trouva refuge à Pont-du Château (Puy-de-Dôme) où il résidait en 1944. On ignore sa profession.
Depuis 1942 sous l’impulsion de quelques cadres de l’École militaire de Billom (Puy-de-Dôme) s’organisa dans ce canton des poches de résistance. L’arrivée le dernier trimestre 1943, de l’État-Major des Mouvements Unis de la Résistance (Gaspard, Prince, Bénévol) au château des Salles à Neuville (Puy-de-Dôme) donna une impulsion très forte au mouvement de la résistance. Comme de très nombreux résistants de la région Jean Ooms répondit à l’ordre du Colonel Gaspard du 20 mai 1944 : « Tous ceux qui le peuvent doivent rejoindre le Mont-Mouchet (Haute-Loire) ».
Le 26 mai 1944 il rejoignit la 14ème Compagnie du Mont-Mouchet sous les ordres du Capitaine Bertrand. Le 11 juin 1944 lors de l’assaut allemand, Jean Ooms fut positionné avec d’autres résistants sur les hauteurs du Pont de Crépoux avec pour objectif de bloquer et interdire le passage des assaillants qui faisaient route vers le Mont-Mouchet. Face à un groupe aguerri et supérieur en matériel, les résistants furent fortement malmenés. Cette opération se solda par de nombreux tués et massacrés, au moins 23 d’après E. Rispal. Il fut tué lors de ce combat au Pont du Crépoux commune de Pinols le 11 juin 1944.
Sa mère demeurait alors à Florange tandis que son père était décédé.
Il a été reconnu « Mort pour la France » et homologué FFI
Son nom est inscrit sur le Monument aux Morts et le Calvaire de Pont-du-Château , sur la stèle commémorative de Chignat commune de Vertaizon.
Sources
SOURCES : AVCC Caen, AC 21 P 132289, dossier Ooms Jean (non consulté) .— Mémoire des Hommes .— MémorialGenweb — AD 63 Recensement de Pont-du-Château .— État civil Florange et Pinols.
Huguette Juniet
