Né le 3 juillet 1920 à Saint-Jean-et-Saint-Paul (Aveyron), mort au combat le 30 août 1944 à Saint-Didier-la-Forêt (Allier) ; Garde républicain ; résistant.

Insigne de la promotion Jacques Bonnafé
Fils de Jules Antonin Bonnafé, cultivateur âgé de 28 ans, et de Léa Aurélie Hélène Boutonnet, sans profession, son épouse, âgée de 28 ans, Jules Bonnafé se maria le 9 janvier 1943 avec Anna Lætitia Diannoux (sic) à Camarès (?) dans l’Aveyron.
Garde au 4e régiment, 2e escadron il était affecté au groupement Thiolet (1ére armée française). Élément de tête lors d’une reconnaissance, il a été tué au combat avec son camarade d’équipage (JOCAILLE) à Saint-Didier-la-Forêt.
Il a reçu la Médaille Militaire et la croix de guerre 1939-1945 avec palme ( à titre posthume) le 6 décembre 1945.
Son nom est gravé sur le monument aux morts de Saint-Jean-et-Saint Paul ( Aveyron). A venir sur la stèle qui sera installée dans le cimetière de Saint-Didier en 2019. Sa dépouille est inhumée dans la nécropole nationale de La Darce à Lyon (Rhône).
Son nom a été donné à la 281e promotion de l’école de gendarmerie de Montluçon (Allier)
Sources

Sources : AVCC Caen, AC 21 P 26387. dossier Jules Bonnafé (nc) .—Thierry Michaud, Histoire de la gendarmerie du Bourbonnais, Puy Guillaume , Adéquat Editions, 2010, 175 p. .— Historique de la 9ème légion de la garde républicaine (1936-1949) .— Raymond Duplan, Dictionnaire des gendarmes morts au cours de la seconde guerre mondiale, Vincennes, SHD, 2008, 385 p. aujourd’hui », .— MémorialGenweb .— Mémoire des Hommes. — État civil Saint-Jean-et-Saint-Paul.

Thierry Michaud

Version imprimable