VARVOUX Amédée, Constant, Léon, Eugène
Né le 30 mars 1908 à Esves-le-Moutier (Indre-et-Loire), massacré le 26 août 1944 à Loches (Indre-et-Loire) ; journalier agricole ; victime civile.
Amédée Varvoux était le fils de Constant, Aimé Varvoux (né le 5 octobre 1876) et de Sylvine, Juliette Marais (née le 29 juillet 1880). Il se maria avec Julie Clément (née le le 29 juin 1907 à Verneuil-sur-Indre, Indre-et-Loire). Ils eurent sept enfants. En 1944, exerçant la profession de journalier agricole, il était domicilié au lieu-dit Vautrompeau, commune de Loches.
Le 16 août 1944, la ville de Loches connut une première libération par l’action conjointe de plusieurs maquis locaux. Mais quatre jours plus tard, le 20 août, les troupes allemandes reprirent la ville, point stratégique sur leurs axes de retraite au sud de la Loire. Ce n’est que le 2 septembre 1944 que les dernières troupes occupantes quittèrent la ville. Entre le 20 août et le 2 septembre, elles procédèrent à de nombreuses exactions et exécutions. Amédée Varvoux fut fusillé par les troupes allemandes dans le parc du château de Grandvaux (commune de Loches) le 26 août 1944 alors qu’il se rendait à son travail auprès de M. Valentin Jourdain cultivateur au lieu-dit Bel-Air, également commune de Loches. Le site Mémorial genweb précise « otage, fusillé par l’ennemi ». Il fut inhumé dans le carré militaire du cimetière communal de Loches.
Il obtint la mention mort pour la France et son nom figure sur le monument aux morts de Loches.
Le 16 août 1944, la ville de Loches connut une première libération par l’action conjointe de plusieurs maquis locaux. Mais quatre jours plus tard, le 20 août, les troupes allemandes reprirent la ville, point stratégique sur leurs axes de retraite au sud de la Loire. Ce n’est que le 2 septembre 1944 que les dernières troupes occupantes quittèrent la ville. Entre le 20 août et le 2 septembre, elles procédèrent à de nombreuses exactions et exécutions. Amédée Varvoux fut fusillé par les troupes allemandes dans le parc du château de Grandvaux (commune de Loches) le 26 août 1944 alors qu’il se rendait à son travail auprès de M. Valentin Jourdain cultivateur au lieu-dit Bel-Air, également commune de Loches. Le site Mémorial genweb précise « otage, fusillé par l’ennemi ». Il fut inhumé dans le carré militaire du cimetière communal de Loches.
Il obtint la mention mort pour la France et son nom figure sur le monument aux morts de Loches.
Sources
SOURCES : Arch. Dép d’Indre-et-Loire, E 020 H 25 , recensement 1936 Loches — DVD AERI La Résistance en Indre-et-Loire — Site internet généalogie (famille Vavroux) — Mémorial genweb — État civil.
Vincent Audren, Michel Thébault
