MURGIER Léon, André
Né le 4 décembre 1922 à Saint Vincent-de-Mercuze (Isère), mort au combat le 21 août 1944 à Villard-Bonnot (Isère) ; cultivateur ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur
Léon, André Murgier était le fils d’Henri, François, Léon et de Marthe, Clarisse, Marie Bonnaire.
Célibataire, il habitait avec ses parents à Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère) où il était cultivateur.
Il s’engagea dans la Résistance puis rejoignit le maquis de Grésivaudan-Belledonne. Il faisait partie de la compagnie de Parc automobile.
Dans la nuit du 20 au 21 août 1944, un groupe franc de douze hommes, dont Léon Murgier, commandé par le lieutenant Henri et appartenant au maquis de Belledonne, secteur 6 de l’AS-Isère, fut envoyé en mission.
En arrivant à Villard-Bonnot vers une heure du matin, le convoi de deux camions et une voiture légère qui roulait sur la RN 523 tomba dans une embuscade dressée par une colonne allemande qui évacuait Grenoble (Isère).
Au cours de l’accrochage, sept membres du groupe franc furent tués.
Au petit matin, après le départ des Allemands, le corps de Léon Murgier fut trouvé, criblé de balles, sans que que l’on puisse exactement déterminer les circonstances de sa mort.
Léon Murgier obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur les monuments aux morts de Saint-Vincent-de-Mercuze et de Villard-Bonnot (39-45), sur une stèle commémorative à Saint-Vincent-de-Mercuze et sur sur la plaque commémorative aux maquisards du Grésivaudan tombés à Villard-Bonnot.
Voir : Villard-Bonnot
Notice provisoire
Célibataire, il habitait avec ses parents à Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère) où il était cultivateur.
Il s’engagea dans la Résistance puis rejoignit le maquis de Grésivaudan-Belledonne. Il faisait partie de la compagnie de Parc automobile.
Dans la nuit du 20 au 21 août 1944, un groupe franc de douze hommes, dont Léon Murgier, commandé par le lieutenant Henri et appartenant au maquis de Belledonne, secteur 6 de l’AS-Isère, fut envoyé en mission.
En arrivant à Villard-Bonnot vers une heure du matin, le convoi de deux camions et une voiture légère qui roulait sur la RN 523 tomba dans une embuscade dressée par une colonne allemande qui évacuait Grenoble (Isère).
Au cours de l’accrochage, sept membres du groupe franc furent tués.
Au petit matin, après le départ des Allemands, le corps de Léon Murgier fut trouvé, criblé de balles, sans que que l’on puisse exactement déterminer les circonstances de sa mort.
Léon Murgier obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur les monuments aux morts de Saint-Vincent-de-Mercuze et de Villard-Bonnot (39-45), sur une stèle commémorative à Saint-Vincent-de-Mercuze et sur sur la plaque commémorative aux maquisards du Grésivaudan tombés à Villard-Bonnot.
Voir : Villard-Bonnot
Notice provisoire
Sources
SOURCES : Arch. dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression 3808 W 666 — SHD Vincennes, GR 19 P 38/3 et 38/12 ; GR 16 P 437935 (à consulter) — AVCC Caen AC 21 P 102543 (à consulter) — Mémorial GenWeb — Mémoire des hommes — État civil
Jean-Luc Marquer