GILLY Jean, Ambroise
Né le 27 novembre 1924 à La Tour-du-Pin (Isère), mort au combat le 13 août 1944 à Livet-et-Gavet (Isère) ; mécanicien ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur
Plaque commémorative, Gilly (orthographié Gelly), Le Poursollet, Livet-et-Gavet
Source : Photo Gaby André VITINGER, Mémorial GenWeb. Cette photographie est sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0.)
Jean, Ambroise Gilly était le fils d’Émile, Firmin, infirmier, et de Jeanne, Marie Magnouloud, infirmière.
Célibataire, il habitait Saint-Égrève (Isère) et était mécanicien.
Il rejoignit les rangs de la Résistance et s’engagea dans la section Porte (Pseudonyme de l’aspirant Maurice Volait) du Groupe Mobile n°3 du maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère.
Le 13 août 1944, après qu’un avion eut survolé le secteur vers dix heures du matin, un fort détachement allemand investit les environs du lac du Poursollet, situé sur la commune de Livet-et-Gavet (Isère). C’est là que se trouvait le PC de la section Porte, le groupe médical et l’intendance. Un groupe de combat dont faisait partie Jean Gilly, le groupe Vallin, y était au repos.
Plusieurs FFI furent tués durant les combats : Jean Gilly, Georges Armand, Roger Chariglione, Moïse Koïfman, Charly Vallin et un combattant resté inconnu.
Émile Pardé, médecin de la section, fut blessé. Fait prisonnier, il fut achevé à coups de crosse.
Pierre Rimey-Meille, fut sommairement exécuté dans un chalet où il s’était réfugié.
Jean Gilly, qui tentait de mettre en action le fusil-mitrailleur du groupe, fut tué parmi les premiers.
Il fut enterré dans le carré militaire du cimetière communal de Saint-Égrève.
Il obtint la mention "Mort pour la France".
Son nom figure sur une plaque commémorative apposée sur le lieu de sa mort (nom orthographié Gelly), sur la plaque commémorative 1939-1945 et le tableau commémoratif, parking du lac du Poursollet à Livet-et-Gavet, sur le monument commémoratif érigé sur le lieu des combats à Livet-et-Gavet, sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet, et sur le monument aux morts de Saint-Égrève.
Voir : Livet-et-Gavet
Notice provisoire
Célibataire, il habitait Saint-Égrève (Isère) et était mécanicien.
Il rejoignit les rangs de la Résistance et s’engagea dans la section Porte (Pseudonyme de l’aspirant Maurice Volait) du Groupe Mobile n°3 du maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère.
Le 13 août 1944, après qu’un avion eut survolé le secteur vers dix heures du matin, un fort détachement allemand investit les environs du lac du Poursollet, situé sur la commune de Livet-et-Gavet (Isère). C’est là que se trouvait le PC de la section Porte, le groupe médical et l’intendance. Un groupe de combat dont faisait partie Jean Gilly, le groupe Vallin, y était au repos.
Plusieurs FFI furent tués durant les combats : Jean Gilly, Georges Armand, Roger Chariglione, Moïse Koïfman, Charly Vallin et un combattant resté inconnu.
Émile Pardé, médecin de la section, fut blessé. Fait prisonnier, il fut achevé à coups de crosse.
Pierre Rimey-Meille, fut sommairement exécuté dans un chalet où il s’était réfugié.
Jean Gilly, qui tentait de mettre en action le fusil-mitrailleur du groupe, fut tué parmi les premiers.
Il fut enterré dans le carré militaire du cimetière communal de Saint-Égrève.
Il obtint la mention "Mort pour la France".
Son nom figure sur une plaque commémorative apposée sur le lieu de sa mort (nom orthographié Gelly), sur la plaque commémorative 1939-1945 et le tableau commémoratif, parking du lac du Poursollet à Livet-et-Gavet, sur le monument commémoratif érigé sur le lieu des combats à Livet-et-Gavet, sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet, et sur le monument aux morts de Saint-Égrève.
Voir : Livet-et-Gavet
Notice provisoire
Sources
SOURCES : Arch. dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 416 — SHD Vincennes, GR 19 P 38/4 ; GR 16 P 256095 (à consulter) — AVCC Caen AC 21 P 193108 (à consulter) — Mémoire des hommes — Mémorial GenWeb — http://sectionporte.chez.com/ — Site Maquis de l’Oisans — État civil
Jean-Luc Marquer