Né le 10 avril 1918 à Reppe (Territoire de Belfort), mort le 14 août 1944 à Livet-et-Gavet (Isère) ; gendarme ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur et interné résistant

Tombe Marcel Walger, Nécropole Nationale de La Doua, Villeurbanne
Tombe Marcel Walger, Nécropole Nationale de La Doua, Villeurbanne
Marcel, Charles, Pierre Walger était le fils de Marie, Louis, Edmond et de Germaine, Julie, Amélie Bairet. Il épousa Marie, Denise Parret et de cette union naquirent une fille, Marcelle, et un garçon prénommé Gerald.
Marcel Walger était gendarme à la brigade de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie).
Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit le maquis de l’Oisans, secteur 1 de l’AS-Isère. Il appartenait à la section Marceau du Groupe Mobile n°3. Il participa aux combats d’août 1944 puis disparut.
Le 30 mai 1946, un corps fut découvert au lieu-dit "forêt Plan Jouve", sur les pentes du Taillefer, sous la Barrière de Rioupéroux, bourg de la commune de Livet-et-Gavet (Isère).
Les circonstances de la mort ne purent être établies.
Bien que réduit à l’état de squelette, le corps fut identifié grâce aux prothèses dentaires et un jugement du tribunal civil de première instance de Grenoble du 30 avril 1947 l’identifia comme étant celui de Marcel Walger.
La date du décès fut fixée au 14 août 1944.
Marcel Walger obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur, et interné résistant.
Il est enterré à la Nécropole nationale de La Doua à Villeurbanne (Métropole de Lyon), rang A17, tombe 19.
Son nom figure sur le Mémorial du maquis de l’Oisans à Livet-et-Gavet.


Voir : Livet-et-Gavet


Notice provisoire
Sources

SOURCES : Arch. dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 416 — SHD Vincennes, GR 19 P 38/4 ; GR 16 P 600426 (à consulter) — AVCC Caen AC 21 P 172007 et AC 21 P 690748 (à consulter) — Mémoire des hommes — Mémorial GenWeb — Geneanet — Site Maquis de l’Oisans — État civil

Jean-Luc Marquer

Version imprimable