JAHARD Louis, Overton
Né le 10 septembre 1910 à Thames-Detton (Royaume-Uni), abattu le 8 juillet 1944 à Saint-André-le-Gaz (Isère) ; industriel : victime civile
Louis, Overton Jahard était le fils de Louis, Hubert, Adolphe et de Winifred James, son épouse.
Il épousa Margit Johansson.
Il habitait Rue Ernest Delaison à Neuilly-sur-Seine (Seine, aujourd’hui Hauts-de-Seine) et était industriel.
Le 7 juillet 1944, un groupe de maquisards du maquis de La-Frette (Isère) fit sauter le château d’eau du dépôt S.N.C.F et le pont tournant des locomotives. En fin d’après-midi, ils firent aussi dérailler des wagons au niveau du passage à niveau des "Fontaines", rendant la circulation des trains impossible en direction de Chambéry.
Le 8 juillet 1944, avant l’aube, des troupes allemandes venues de Bourgoin (aujourd’hui Bourgoin-Jallieu, Isère) et de Lyon (Rhône) et accompagnées de miliciens encerclèrent et investirent la commune.
Louis Jahard se trouvait à Saint-André-le-Gaz dans la nuit du 7 au 8 juillet 1944, sans que l’on sache s’il s’y trouvait pour affaires, en villégiature ou si il avait dû interrompre son voyage en raison des sabotages de voie ferrée réalisés par les maquisards.
Vers cinq heures du matin, il fut abattu au pied de l’escalier de l’hôtel où il résidait au lieu-dit "Bas Verel" sans que l’on en sache la raison.
Louis Jahard obtint la mention "Mort pour la France".
Son nom figure sur le monument érigé rue des Martyrs du 8 juillet 1944 à Saint-André-le-Gaz.
Voir : Saint-André-le-Gaz
Notice provisoire
Il épousa Margit Johansson.
Il habitait Rue Ernest Delaison à Neuilly-sur-Seine (Seine, aujourd’hui Hauts-de-Seine) et était industriel.
Le 7 juillet 1944, un groupe de maquisards du maquis de La-Frette (Isère) fit sauter le château d’eau du dépôt S.N.C.F et le pont tournant des locomotives. En fin d’après-midi, ils firent aussi dérailler des wagons au niveau du passage à niveau des "Fontaines", rendant la circulation des trains impossible en direction de Chambéry.
Le 8 juillet 1944, avant l’aube, des troupes allemandes venues de Bourgoin (aujourd’hui Bourgoin-Jallieu, Isère) et de Lyon (Rhône) et accompagnées de miliciens encerclèrent et investirent la commune.
Louis Jahard se trouvait à Saint-André-le-Gaz dans la nuit du 7 au 8 juillet 1944, sans que l’on sache s’il s’y trouvait pour affaires, en villégiature ou si il avait dû interrompre son voyage en raison des sabotages de voie ferrée réalisés par les maquisards.
Vers cinq heures du matin, il fut abattu au pied de l’escalier de l’hôtel où il résidait au lieu-dit "Bas Verel" sans que l’on en sache la raison.
Louis Jahard obtint la mention "Mort pour la France".
Son nom figure sur le monument érigé rue des Martyrs du 8 juillet 1944 à Saint-André-le-Gaz.
Voir : Saint-André-le-Gaz
Notice provisoire
Sources
SOURCES : Arch. dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 596 — Geneanet — Mémorial GenWeb — https://www.calameo.com/books/003683912532622fe5adb — État civil
Jean-Luc Marquer
