LESAQUE Alphonse, André
Né le 22 août 1917 à Paris (Xe arr.), exécuté sommairement le 20 août 1944 au château de Vincennes (Seine, Val-de-Marne) ; monteur électricien ; insurgé.
Fils de Pétrus Lesaque cheminot et de Alice Briols, Alphonse Lesaque était marié à Suzanne Jeanne Piard, ouvrière spécialisée, domiciliés 183 rue Saint-Maur, Paris (Xe arr.) et voisins de Maxime Courdant. Il travaillait comme monteur électricien.
Lors de l’insurrection de Paris, il se trouvait le 20 août 1944 avec deux de ses camarades dans une voiture au coin de la rue de Charonne et du boulevard Voltaire (Paris XIe) pour se rendre au combat. Sur le terrain la trêve n’était pas appliquée, les FFI ne se considéraient pas liés par une décision de caractère militaire. Ils occupaient la mairie du XIe dans laquelle ils avaient installés un dépôt d’armes récupérées.
Alphonse Lesaque, Maxime Courdant et François Cassel résistant FTP, ont été arrêtés par des soldats allemands, emmenés au Château de Vincennes où ils ont été exécutés le soir même.
Leurs corps ont été ensevelis dans une fosse commune située au pied de la Tour du diable où 26 corps ont été exhumés le 26 août 1944, Alphonse Lesaque portait le n°26 et ne fut identifié que dans les jours suivants. La mairie de Vincennes rédigea son acte de décès le 30 août 1944.
Ils ont été réinhumés après la reconnaissance par les familles.
Sa mère était concierge 14 Passage Amelot à Paris (XIe arr.) et son père décédé.
Alphonse Lesaque repose dans le Carré militaire au nouveau cimetière de Vincennes à Fontenay-sous-Bois, carré 13, tombe 14.
Il a été reconnu Mort pour la France.
Son nom figure sur la stèle commémorative du Château de Vincennes, et sur la plaque commémorative qui se trouve dans l’église Saint-Joseph-des-Nations à Paris (XIe arr.).
Lors de l’insurrection de Paris, il se trouvait le 20 août 1944 avec deux de ses camarades dans une voiture au coin de la rue de Charonne et du boulevard Voltaire (Paris XIe) pour se rendre au combat. Sur le terrain la trêve n’était pas appliquée, les FFI ne se considéraient pas liés par une décision de caractère militaire. Ils occupaient la mairie du XIe dans laquelle ils avaient installés un dépôt d’armes récupérées.
Alphonse Lesaque, Maxime Courdant et François Cassel résistant FTP, ont été arrêtés par des soldats allemands, emmenés au Château de Vincennes où ils ont été exécutés le soir même.
Leurs corps ont été ensevelis dans une fosse commune située au pied de la Tour du diable où 26 corps ont été exhumés le 26 août 1944, Alphonse Lesaque portait le n°26 et ne fut identifié que dans les jours suivants. La mairie de Vincennes rédigea son acte de décès le 30 août 1944.
Ils ont été réinhumés après la reconnaissance par les familles.
Sa mère était concierge 14 Passage Amelot à Paris (XIe arr.) et son père décédé.
Alphonse Lesaque repose dans le Carré militaire au nouveau cimetière de Vincennes à Fontenay-sous-Bois, carré 13, tombe 14.
Il a été reconnu Mort pour la France.
Son nom figure sur la stèle commémorative du Château de Vincennes, et sur la plaque commémorative qui se trouve dans l’église Saint-Joseph-des-Nations à Paris (XIe arr.).
Sources
SOURCES : SHD Vincennes, GR16P110407, dossier de François Cassel .— AVCC Caen, AC 21P 476731,transmis par Delphine Leneveu. — Pas de dossier au SHD Vincennes, GR16P 366869 est celui de Jean Lesaque né le 28 septembre 1917. — Mémoire des hommes.— Recherche et notes Geneviève Launay.— MemorialGenweb.
Annie Pennetier
