GIRARDIN Henri, Célestin
Né le 27 juillet 1915 à Borny, aujourd’hui rattaché à Metz (Moselle), mort en action le 27 septembre 1944 à Ramonchamp (Vosges) ; militaire ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et de la brigade Alsace-Lorraine.
Henri Girardin était le fils de Alphonse et de Émilie Thiel. Il était marié avec Blanche Amélie Doche.
Il entra dans la Résistance à la Légion Alsace-Lorraine 24 (Dordogne) puis s’engagea dans la brigade indépendante Alsace-Lorraine créée le 17 septembre 1944 à Dijon sous le commandement d’André Malraux alias colonel Berger et qui était composée en partie d’Alsaciens-Mosellans ayant fuit l’annexion. Henri Girardin fut affecté au bataillon Strasbourg et à la compagnie Verdun.
La brigade fut rapidement engagée sur le front des Vosges. Il fut tué par éclats d’obus le 27 septembre 1944 au lieu-dit "Bois le Prince", à Ramonchamp (Vosges).
L’acte de décès fut dressé le 28 septembre sur la déclaration de Auguste Kopf, 25 ans, chef comptable à la compagnie Verdun.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 31 janvier 1949 et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 257717 et AC 21 P 195127 (non consultés).
Son nom figure sur le Mémorial de la brigade Alsace-Lorraine, à Froideconche (Haute-Saône) et sur le monument aux morts de Borny, à Metz (Moselle).
Il entra dans la Résistance à la Légion Alsace-Lorraine 24 (Dordogne) puis s’engagea dans la brigade indépendante Alsace-Lorraine créée le 17 septembre 1944 à Dijon sous le commandement d’André Malraux alias colonel Berger et qui était composée en partie d’Alsaciens-Mosellans ayant fuit l’annexion. Henri Girardin fut affecté au bataillon Strasbourg et à la compagnie Verdun.
La brigade fut rapidement engagée sur le front des Vosges. Il fut tué par éclats d’obus le 27 septembre 1944 au lieu-dit "Bois le Prince", à Ramonchamp (Vosges).
L’acte de décès fut dressé le 28 septembre sur la déclaration de Auguste Kopf, 25 ans, chef comptable à la compagnie Verdun.
Il obtint la mention « Mort pour la France » le 31 janvier 1949 et fut homologué au grade de sergent des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 257717 et AC 21 P 195127 (non consultés).
Son nom figure sur le Mémorial de la brigade Alsace-Lorraine, à Froideconche (Haute-Saône) et sur le monument aux morts de Borny, à Metz (Moselle).
Sources
SOURCES : comebal.free.fr. Les morts de la Brigade Alsace-Lorraine.— BIAL 5 05 1978.— Wikipédia Brigade indépendante Alsace-Lorraine.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
Jean-Louis Ponnavoy
