Né le 17 août 1901 à Mieziniec (Pologne), mort au combat le 29 juillet 1944 à Autrans (aujourd’hui Autrans-Méaudre-en-Vercors, Isère) ; menuisier ; résistant de l’Armée secrète, homologué sergent des Forces françaises de l’Intérieur

Tombe Louis WILK, Nécropole Nationale de la Doua, Villeurbanne (Rhône)
Tombe Louis WILK, Nécropole Nationale de la Doua, Villeurbanne (Rhône)
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
Louis Wilk, aussi prénommé Ludwik ou Ludwig, était menuisier.
Il avait une épouse prénommée Stefania.
Il s’engagea dans la Résistance, rejoignant les maquisards du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Il trouva la mort dans les combats qui eurent lieu le 29 juillet 1944 aux abords du refuge de Gève à Autrans (Isère).
Son corps fut ramené à Autrans le 18 août 1944 en même que celui de Jacques Maillard.
Il obtint la mention "Mort pour la France" et fut homologué résistant, sergent des Forces françaises de l’Intérieur.
Il est maintenant enterré dans la Nécropole Nationale de La-Doua à Villeurbanne (Métropole de Lyon), carré A, rang 10, sépulture 70.
Son nom figure sur un monument aux morts pour la France et la Pologne érigé dans le cimetière de Villard-de-Lans (Isère), sur deux plaques apposées sur le mur du refuge de Gève à Autrans, et sur la station 7 du Chemin de Croix qui part de l’Essarton jusqu’à Valchevrière en passant par Bois Barbu, départementale D215C, à Villard-de-Lans.


Notice provisoire


Voir : Autrans
Sources

SOURCES : SHD Vincennes GR 16 P 603126 (à consulter) ; GR 19 P 38/16 — AVCC Caen AC 21 P 167010 (à consulter) — Le pionnier du Vercors, n°74, mars 1991 — Mémoire des hommes — Mémorial GenWeb — Geneanet — http://www.museedelaresistanceenligne.org — État civil

Jean-Luc Marquer

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