Né le 28 mars 1911 à Saint-Denis (Seine, aujourd’hui Seine-Saint-Denis), mort au combat le 31 juillet 1944 à Autrans (aujourd’hui Méaudre-Autrans-en-Vercors, Isère) ; sans profession connue ; résistant de l’Armée secrète, homologué Forces françaises de l’Intérieur

Jacques, Pierre, Julien, Joseph Maillard était le fils d’Émile et de Lucie Cadoux.
Il était l’époux de Madeleine Caze.
En 1944, ils habitaient à Villard-de-Lans (Isère).
Il s’engagea dans la Résistance, rejoignant les maquisards du Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère.
Ses services sont homologués à partir du 19 juin 1944.
Il trouva la mort le 31 juillet 1944 aux abords du refuge de Gève à Autrans (Isère).
Le 18 août 1944, des membres des équipes d’urgence de la Croix-Rouge accompagnèrent Madame Maillard jusqu’à la tombe de son époux à Gèves et ramenèrent le corps à Autrans, en même temps que celui de Louis Wilk.
Jacques Maillard obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, membre des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur le monument aux morts de Villard-de-Lans, sur la station 10 du Chemin de Croix qui part de l’Essarton jusqu’à Valchevrière en passant par Bois Barbu, départementale D215C, à Villard-de-Lans et sur une plaque apposée sur le mur du refuge de Gève à Autrans.


Notice provisoire


Voir : Autrans
Sources

SOURCES : SHD Vincennes, GR 16 P 384639 (nc) ; GR 19 P 38/16 — AVCC Caen, AC 21 P 85622 (nc) — Le pionnier du Vercors, n°74, mars 1991 — Geneanet — http://www.museedelaresistanceenligne.org— État civil

Jean-Luc Marquer

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