BABANINI Roger André
Né le 30 janvier 1922 à Lyon 1er arrondissement (Rhône), mort le 29 septembre 1944 à Ronchamp (Haute-Saône) ; employé de la SNCF ; résistant du maquis et du bataillon FFI du Charollais.
Roger, André Babanini était le fils de Dante Babanini, mécanicien, né à Milan (Italie), et d’Antoinette, Joséphine Hote-Bridon.
Il naquit au domicile du ménage 12 rue Pouteau, Lyon 1er arr. (Rhône, Métropole de Lyon).
Il épousa Andrée, Jeanne Julien et était domicilié 11 place de la Croix-Rousse à Lyon 4e arr. Il travaillait à la SNCF au service de l’exploitation.
Il entra dans la Résistance au maquis de Beaubery (Saône-et-Loire) puis s’engagea dans le bataillon du Charollais. Après la Libération de la région le bataillon fit sa jonction avec la 1re division blindée du général Touzet du Vigier à laquelle il fut rattaché. Il participa aux combats dans les Vosges et notamment à l’attaque de la chapelle de Ronchamp (Haute-Saône) à partir du 23 septembre. Roger Babanini y fut grièvement blessé et décéda le 29 septembre de ses blessures.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le Mémorial 1939-1945, à Beaubery (Saône-et-Loire) et sur la plaques commémoratives de la SNCF en gare de Lyon-Perrache et de Lyon-Vaise.
Il naquit au domicile du ménage 12 rue Pouteau, Lyon 1er arr. (Rhône, Métropole de Lyon).
Il épousa Andrée, Jeanne Julien et était domicilié 11 place de la Croix-Rousse à Lyon 4e arr. Il travaillait à la SNCF au service de l’exploitation.
Il entra dans la Résistance au maquis de Beaubery (Saône-et-Loire) puis s’engagea dans le bataillon du Charollais. Après la Libération de la région le bataillon fit sa jonction avec la 1re division blindée du général Touzet du Vigier à laquelle il fut rattaché. Il participa aux combats dans les Vosges et notamment à l’attaque de la chapelle de Ronchamp (Haute-Saône) à partir du 23 septembre. Roger Babanini y fut grièvement blessé et décéda le 29 septembre de ses blessures.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le Mémorial 1939-1945, à Beaubery (Saône-et-Loire) et sur la plaques commémoratives de la SNCF en gare de Lyon-Perrache et de Lyon-Vaise.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 11417 (nc).www.effelle.fr/beaubery-charollais Du maquis de Beaubery au bataillon du Charollais.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— État civil, acte de naissance n°45, transcription de l’acte de décès établi par le service central de l’état civil du ministère des anciens combattants, acte n°384 bis, 1946, Lyon 4e arr.
Jean-Louis Ponnavoy
