ORANGE Marcel
Né à Lyon IIè arr. (Rhône, aujourd’hui Métropole de Lyon), abattu par les Allemands le 8 juin 1944 à Grenoble (Isère) ; milicien, chef de Franc-garde.
Marcel Orange était le fils naturel de Gabrielle Orange.
Il habitait 6 place Victor Hugo à Grenoble (Isère) et était chef d’une "main" de la Franc-garde, branche armée de la Milice française.
Le 8 juin 1944, vers 21h15, il se trouvait avec deux autres miliciens au café de l’Époque, rue du Lycée à Grenoble.
Les trois hommes se mirent à poursuivre un homme qui passait rue de Bonne en direction de la place Victor Hugo.
La raison de cette poursuite n’apparaît pas dans les documents consultés. Peut-être les miliciens avaient-ils remarqué qu’il était porteur d’une grenade, qu’il jeta derrière lui dans sa fuite.
Des soldats allemands du 7ème Régiment de Pionniers qui se trouvaient en patrouille tuèrent Marcel Orange et l’homme qu’il poursuivait, Marcel Dumas, qui n’avaient pas répondu à leurs sommations.
Marcel Orange fut abattu à l’angle de la rue de Bonne et de la rue de la Poste, Marcel Dumas un peu plus loin.
Les corps furent transportés à l’École de Médecine.
Notice provisoire
Voir : Grenoble, d’octobre 1943 à août 1944
Il habitait 6 place Victor Hugo à Grenoble (Isère) et était chef d’une "main" de la Franc-garde, branche armée de la Milice française.
Le 8 juin 1944, vers 21h15, il se trouvait avec deux autres miliciens au café de l’Époque, rue du Lycée à Grenoble.
Les trois hommes se mirent à poursuivre un homme qui passait rue de Bonne en direction de la place Victor Hugo.
La raison de cette poursuite n’apparaît pas dans les documents consultés. Peut-être les miliciens avaient-ils remarqué qu’il était porteur d’une grenade, qu’il jeta derrière lui dans sa fuite.
Des soldats allemands du 7ème Régiment de Pionniers qui se trouvaient en patrouille tuèrent Marcel Orange et l’homme qu’il poursuivait, Marcel Dumas, qui n’avaient pas répondu à leurs sommations.
Marcel Orange fut abattu à l’angle de la rue de Bonne et de la rue de la Poste, Marcel Dumas un peu plus loin.
Les corps furent transportés à l’École de Médecine.
Notice provisoire
Voir : Grenoble, d’octobre 1943 à août 1944
Sources
SOURCES : Arch. Dép. Rhône et Métropole, Mémorial de l’oppression, 3808 W 516
Jean-Luc Marquer