AGRANIER Henri, Louis, Victorin
Né le 1er août 1911 à Ganges (Hérault), abattu le 19 juillet 1944 à Cazilhac (Hérault) ; ouvrier bonnetier ; victime civile.
Fils de Zacharie Agranier, mineur, et de Marie Marthe Crézégut, Henri Agranier habitait Ganges, dans la Grand Rue. Il était bonnetier, les trajets entre son domicile et son usine se faisaient en camionnette.
Le 19 juillet 1944, un détachement allemand situé sur la route du Vigan mitrailla sur la route de l’Aqueduc (route de Saint-Laurent-le-Minier) une camionnette ramenant des ouvriers de leur travail. Henri Agranier fut blessé lors de cette fusillade et décéda le soir à son domicile. C’est de lui que parle G. Bouladou lorsqu’il évoque un « civil abattu par erreur dans un camion passant sur la rive droite de l’Hérault ».
Son nom figure sur le monument aux morts de Ganges, sur la stèle commémorative de la bataille de Ganges (qui a eu lieu le 24 août 1944) et à Cazilhac, un monument portant son nom a été placé à l’endroit où il est « tombé sous les balles allemandes ».
Le 19 juillet 1944, un détachement allemand situé sur la route du Vigan mitrailla sur la route de l’Aqueduc (route de Saint-Laurent-le-Minier) une camionnette ramenant des ouvriers de leur travail. Henri Agranier fut blessé lors de cette fusillade et décéda le soir à son domicile. C’est de lui que parle G. Bouladou lorsqu’il évoque un « civil abattu par erreur dans un camion passant sur la rive droite de l’Hérault ».
Son nom figure sur le monument aux morts de Ganges, sur la stèle commémorative de la bataille de Ganges (qui a eu lieu le 24 août 1944) et à Cazilhac, un monument portant son nom a été placé à l’endroit où il est « tombé sous les balles allemandes ».
Sources
SOURCES : Gérard Bouladou, L’Hérault dans la Résistance 1940-1944, Lacour, 1992. – Site de Noël Ghisalberti. – Mémorial GenWeb. – État-civil.
Agnès Tisserand