MARCHAL Louis, Jean, Baptiste
Né le 2 janvier 1905 à Gérardmer (Vosges), mort en action le 16 septembre 1944 à La Bresse (Vosges) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Louis Marchal était le fils de Benjamin, cultivateur et de Marie Amélie Voirin, cultivatrice. Il se maria le 5 mai 1928 à Granges-sur-Vologne (Vosges) avec Germaine Augustine Voirin.
Il entra dans la Résistance comme maquisard du GMA (Groupe mobile Alsace-Lorraine) de la "Piquante-Pierre". Il était membre du groupe du lieutenant Mathis, installé en avant-poste au camp de Noiregoutte, à six kilomètres au nord du maquis principal.
En septembre 1944 l’effectif du maquis était de 1300 hommes. Le 16 septembre à cinq heures du matin, le camp de Noiregoutte qui couvrait celui de la Piquante Pierre, était attaqué. Quatorze hommes furent tués avant que le reste du groupe parvienne à se dégager et se replier sur la Piquante Pierre. Louis Marchal était parmi les tués au lieu-dit "La Brayotte", à La Bresse.
Il est inhumé au cimetière de La Brayotte, à La Bresse (Vosges).
Les colonnes allemandes montèrent à l’assaut du maquis dans la nuit du 19 au 20 septembre 1944. L’attaque nazie fut déclenchée à l’aube du 20 septembre sous un épais brouillard, ce qui empêcha l’appui aérien favorisant ainsi les résistants qui repoussèrent toutes les attaques de l’ennemi qui se poursuivirent jusqu’à 18 heures. Les maquisards repoussèrent toutes les attaques puis se replièrent. Cependant 73 FFI et 10 civils furent tués ou fusillés les 16, 20 et 21 septembre 1944. Les pertes allemandes étaient de 480 tués, blessés, prisonniers.
Louis Marchal obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 391624 et AC 21 P 82707 (non consultés).
Son nom figure sur monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre", à Basse-sur-le-Rupt, le monument commémoratif 1939-1945, à Gerardmer, sur le monument aux morts 1939-1945, les vitraux dans l’église et le calvaire de la Résistance, à Xonrupt-Longemer et le monument des fusillés vosgiens, à Épinal (Vosges).
Il entra dans la Résistance comme maquisard du GMA (Groupe mobile Alsace-Lorraine) de la "Piquante-Pierre". Il était membre du groupe du lieutenant Mathis, installé en avant-poste au camp de Noiregoutte, à six kilomètres au nord du maquis principal.
En septembre 1944 l’effectif du maquis était de 1300 hommes. Le 16 septembre à cinq heures du matin, le camp de Noiregoutte qui couvrait celui de la Piquante Pierre, était attaqué. Quatorze hommes furent tués avant que le reste du groupe parvienne à se dégager et se replier sur la Piquante Pierre. Louis Marchal était parmi les tués au lieu-dit "La Brayotte", à La Bresse.
Il est inhumé au cimetière de La Brayotte, à La Bresse (Vosges).
Les colonnes allemandes montèrent à l’assaut du maquis dans la nuit du 19 au 20 septembre 1944. L’attaque nazie fut déclenchée à l’aube du 20 septembre sous un épais brouillard, ce qui empêcha l’appui aérien favorisant ainsi les résistants qui repoussèrent toutes les attaques de l’ennemi qui se poursuivirent jusqu’à 18 heures. Les maquisards repoussèrent toutes les attaques puis se replièrent. Cependant 73 FFI et 10 civils furent tués ou fusillés les 16, 20 et 21 septembre 1944. Les pertes allemandes étaient de 480 tués, blessés, prisonniers.
Louis Marchal obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 391624 et AC 21 P 82707 (non consultés).
Son nom figure sur monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre", à Basse-sur-le-Rupt, le monument commémoratif 1939-1945, à Gerardmer, sur le monument aux morts 1939-1945, les vitraux dans l’église et le calvaire de la Résistance, à Xonrupt-Longemer et le monument des fusillés vosgiens, à Épinal (Vosges).
Sources
SOURCES : https://vosgespassions.forumgratuit.org/t99-le-maquis-de-la-piquante-pierre.— https://www.lieux-insolites.fr/vosges/piquante/piquante.htm La Piquante Pierre - lieux insolites.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy