LEFEBVRE Marcel, Ghislain
Né le 23 septembre 1907 à Petit-Enghien (Belgique), exécuté sommairement le 21 septembre 1944 à La Bresse (Vosges) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Marcel Lefebvre était marié avec Charlotte Mougenot et domicilié avenue Maréchal Foch à Saulxures-sur-Moselotte (Vosges). Il exerçait le métier de forgeron.
Il entra dans « la » Résistance comme maquisard du GMA (Groupe mobile Alsace-Lorraine) de la "Piquante-Pierre".
En septembre 1944 l’effectif du maquis était de 1300 hommes. Les colonnes allemandes montèrent à l’assaut du maquis dans la nuit du 19 au 20 septembre 1944. L’attaque nazie fut déclenchée à l’aube du 20 septembre sous un épais brouillard, ce qui empêcha l’appui aérien favorisant ainsi les résistants qui repoussèrent toutes les attaques de l’ennemi qui se poursuivirent jusqu’à 18 heures puis les maquisards se replièrent. Cependant 73 FFI et 10 civils furent tués ou fusillés les 16, 20 et 21 septembre 1944. Les pertes allemandes étaient de 480 tués, blessés, prisonniers.
Dans la matinée du 21, vingt sept prisonniers furent amenés de Cornimont et Saulxures par camions et enfermés à la Salle Jeanne d’Arc. Vers 12h30, ils furent traînés dans les prés et fusillés au lieu-dit "Les Combes", à La Bresse (Vosges).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 353030 (non consulté).
Son nom figure sur monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre", à Basse-sur-le-Rupt, sur le monument commémoratif des Combes, à La Bresse et le monument aux morts, à Saulxures-sur-Moselotte (Vosges).
Il entra dans « la » Résistance comme maquisard du GMA (Groupe mobile Alsace-Lorraine) de la "Piquante-Pierre".
En septembre 1944 l’effectif du maquis était de 1300 hommes. Les colonnes allemandes montèrent à l’assaut du maquis dans la nuit du 19 au 20 septembre 1944. L’attaque nazie fut déclenchée à l’aube du 20 septembre sous un épais brouillard, ce qui empêcha l’appui aérien favorisant ainsi les résistants qui repoussèrent toutes les attaques de l’ennemi qui se poursuivirent jusqu’à 18 heures puis les maquisards se replièrent. Cependant 73 FFI et 10 civils furent tués ou fusillés les 16, 20 et 21 septembre 1944. Les pertes allemandes étaient de 480 tués, blessés, prisonniers.
Dans la matinée du 21, vingt sept prisonniers furent amenés de Cornimont et Saulxures par camions et enfermés à la Salle Jeanne d’Arc. Vers 12h30, ils furent traînés dans les prés et fusillés au lieu-dit "Les Combes", à La Bresse (Vosges).
Il obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI), dossier SHD GR 16 P 353030 (non consulté).
Son nom figure sur monument commémoratif du maquis de "la Piquante Pierre", à Basse-sur-le-Rupt, sur le monument commémoratif des Combes, à La Bresse et le monument aux morts, à Saulxures-sur-Moselotte (Vosges).
Sources
SOURCES : https://vosgespassions.forumgratuit.org/t99-le-maquis-de-la-piquante-pierre.— https://www.lieux-insolites.fr/vosges/piquante/piquante.htm La Piquante Pierre - lieux insolites.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès demandé le 26/01/2021).
Jean-Louis Ponnavoy