LÉGER Raymond, Étienne
Né le 25 mars 1922 à Dijon (Côte-d’Or), mort en action le 23 décembre 1944 à Bourbach-le-Bas (Haut-Rhin) ; résistant des forces françaises de l’intérieur (FFI) et du régiment de Bourgogne.
Raymond Léger était le fils de Paul, sabotier et de Jeanne Martin, ouvrière. Il était célibataire.
L’appartenance de Paul Léger avant son engagement au 1er régiment FFI de Bourgogne ne nous est pas connue. Le régiment de Bourgogne fut créé à Dijon le 1er octobre 1944 sous les ordres du commandant René Alizon. Il quitta Dijon le 22 octobre 1944 pour être intégré à la 2e Division d’infanterie marocaine dans la région de Rougemont (Doubs). Il participa à l’offensive dans la trouée de Belfort et en Haute-Alsace. L’unité d’affectation de Raymond Léger n’est pas connu. Il fut tué le 23 décembre 1944 à Bourbach-le-Bas (Haut-Rhin). Selon MdH, il mourut des suites de ses blessures. Il avait le grade de caporal-chef.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué au grade de caporal-chef des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
L’appartenance de Paul Léger avant son engagement au 1er régiment FFI de Bourgogne ne nous est pas connue. Le régiment de Bourgogne fut créé à Dijon le 1er octobre 1944 sous les ordres du commandant René Alizon. Il quitta Dijon le 22 octobre 1944 pour être intégré à la 2e Division d’infanterie marocaine dans la région de Rougemont (Doubs). Il participa à l’offensive dans la trouée de Belfort et en Haute-Alsace. L’unité d’affectation de Raymond Léger n’est pas connu. Il fut tué le 23 décembre 1944 à Bourbach-le-Bas (Haut-Rhin). Selon MdH, il mourut des suites de ses blessures. Il avait le grade de caporal-chef.
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Il fut homologué au grade de caporal-chef des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Sources
SOURCES : dossiers SHD GR 16 P 355585 et AC 21 P 73443 (non consultés).— Gilles Hennequin Le régiment de Bourgogne, Dijon, 2006.— Mémoire des Hommes.— État civil (acte de naissance).
Jean-Louis Ponnavoy