MASCAUX Maurice, Renald
Né le 2 janvier 1923 à Valenciennes (Nord), massacré le 21 août 1944 à Valenciennes ; cheminot ; victime civile.
Maurice Mascaux était le fils de Maurice et de Maria Debrabant. Il était célibataire et entra à la SNCF comme cantonnier auxiliaire.
Le 21 août 1944, alors qu’il était était à son travail à Valenciennes, il quitta son poste vers 11h30 pour regagner son domicile à Beuvrages. Pour cela, il devait franchir l’Escaut en empruntant l’écluse Follieu mais pour une raison inconnue, il contourna les fils de fer barbelés protégeant le site gardé par les forces d’occupation. Il fut alors mortellement blessé par le tir d’un garde wallon en faction.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et son nom figure sur la plaque commémorative de la SNCF en gare, à Valenciennes (Nord).
Le 21 août 1944, alors qu’il était était à son travail à Valenciennes, il quitta son poste vers 11h30 pour regagner son domicile à Beuvrages. Pour cela, il devait franchir l’Escaut en empruntant l’écluse Follieu mais pour une raison inconnue, il contourna les fils de fer barbelés protégeant le site gardé par les forces d’occupation. Il fut alors mortellement blessé par le tir d’un garde wallon en faction.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et son nom figure sur la plaque commémorative de la SNCF en gare, à Valenciennes (Nord).
Sources
SOURCES : Laurent Thiery dans le Mémorial des Cheminots victimes de la répression 1940-1945 sous la direction de Thomas Fontaine, éd. Perrin/SNCF Paris, 2017 page 1007.— Mémorial Genweb.
Jean-Louis Ponnavoy
