Né le 1er avril 1891 à Porchères (Gironde), massacré le 22 août 1944 à Bordeaux (Gironde) ; cheminot ; victime civile.

François Argivier était le fils de François, cultivateur et de Marguerite Desfarges, cultivatrice, domiciliés au village de Belle Source. Il était marié et père d’un enfant âgé de 25 ans en 1944. Il entra au chemin de fer et sous l’Occupation, il exerçait le métier de chef de manutention, à Bordeaux.
Le 22 août 1944, il fut tué avenue Thiers, touché par un tir de mitrailleuse allemand.
Il obtint la mention « Mort pour la France » apposée sur son acte de décès et son nom figure sur la plaque commémorative de la SNCF en gare de Bordeaux-Saint-Jean, à Bordeaux (Gironde).
Sources

SOURCES ; Notice sans auteur dans Cheminots victimes de la répression Mémorial 1940-1945, sous la direction de Thomas Fontaine, Perrin/SNCF, Paris, 2017, page 1599.— Mémorial Genweb.

Jean-Louis Ponnavoy

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