Né le 3 janvier 1915 à Lyon (Rhône, II° arr.), mort en action le 17 juin 1944 Saint-Julien-de-Jordanne, aujourd’hui Mandailles-Saint-Julien (Cantal) ; résistant au sein des Forces françaises de l’intérieur (FFI) et des forces françaises combattantes (FFC).

Résistant depuis une date qu’on ignore, Marius Douris aurait appartenu au réseau ANGE BUCKMASTER. Il a également appartenu au Corps Franc Greco, unité combattante du Cantal relevant des Mouvements unis de la Résistance (MUR).
Sa mort est survenue dans le cadre d’une opération de la feldgendarmerie allemande et d’un détachement de gardes (GMR) contre le maquis du Cantal, après qu’un prisonnier ait indiqué où se situait le maquis de Mandailles. Il est mort le 17 juin 1944 Saint-Julien-de-Jordanne, aujourd’hui Mandailles-Saint-Julien (Cantal).
Il a été reconnu Mort pour la France, homologué FFI au sein de la formation MUR : Corps Franc Greco, du Cantal, pour la période du 27 mai au 18 juin 1944.
Son nom figure sur la Stèle commémorative des maquisards et résistants à Saint-Julien-de-Jordanne (Cantal).
Son acte de naissance n’a pu être trouvé dans l’état civil numérisé.
Sources

SOURCES : SHD Vincennes GR 19 P 15/44 : MUR : Corps Franc Greco. — AVCC Caen, AC 21 P 122634, dossier Marius Douris (nc). — SHD Vincennes, GR 16 P 191298, dossier résistant pour Marius Douris (nc). — Arch. dép. du Puy-de-Dôme, 908 W 54 : crimes de guerre à Saint-Julien-de-Mandailles. — Mémorialgenweb.

Eric Panthou

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