Né le 24 juillet 1911 à Saint-Cloud (Oran, Algérie), victime civile des combats de la Libération morte le 25 août 1944 à Vénissieux (Rhône) ; cheminot ; victime civile.

Juan Navarro était veuf et demeurait sous l’Occupation 16 rue Antoine-Billon à Vénissieux (Rhône). Il était manœuvre spécialisé au service de la Voie et Bâtiments SNCF au Service Régional V.B.-Sud-Est au Magasin Général de Lyon, à Saint-Priest (Rhône).
Le 25 août 1944, il fut victime d’un tir au cours des combats de la Libération, à proximité des usines Berliet de Vénissieux.
Il obtint la mention « Mort pour la France » apposée sur son acte de décès en février 1948.
Son nom figure sur les plaques commémoratives de la SNCF en gare, à Saint-Priest et de la direction régionale, à Lyon-Perrache, à Lyon (IIe arr.), sur la plaque commémorative de la rue des Combats du 24 août 1944, à Vénissieux (Rhône) et sur le monument commémoratif du service Voie et Bâtiments du réseau Sud-Est, 15 rue Traversière, à Paris (XIIe arr.)
Sources

SOURCES : Notice sans auteur dans Cheminots victimes de la répression Mémorial 1940-1945, sous la direction de Thomas Fontaine, Perrin/SNCF, Paris, 2017, page 1620.— Mémorial genweb.

Jean-Louis Ponnavoy

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