MARMONNIER Émile, Michel
Né le 13 juillet 1919 à Lyon II° arr. (Rhône), exécuté sommairement le 5 juillet 1944 à Saint-Georges-Lagricol (Haute-Loire) ; mécanicien ; résistant.
Fils de Jeanne Marmonnier, Émile Marmonnier était mécanicien et se maria avec Eugénie Lafont. Le couple habitait 6 rue Francis de Pressencé à Villeurbanne (Rhône) et eut un enfant né début 1944.
Il aurait rejoint la Résistance et appartenait à un groupe surnommé "maquis jambon", un maquis qui fit parler de lui dans le secteur pour le ravitaillement. Le 5 juillet 1944, il était installé avec son groupe dans l’ancienne école de Saint-Pierre-Duchamp, sous le commandement du capitaine Lafay alias Lacour. Ces hommes faisaient semblant d’installer une colonie.
Il aurait été tué alors que le jour-même il était parti avec deux autres hommes pour rapiner dans le secteur, peut-être l’hôtel de Pontempeyrat. Le motif de cette exécution par ses camarades semble être lié au fait qu’il ait commis des vols.
Son corps a été déplacé par ses camarades pour une raison inconnue. Son corps fut retrouvé au pont de Piassiac à Saint-Georges-Lagricol (Haute-Loire) le 6 juillet 1944.
Il fut établi que le décès remontait à la veille. Il était dépourvu de ses souliers et ne fut pas identifié sur le coup.
Son fil, Michel marmonnier, fut tué le 6 juillet 1944, dans les bras de sa mère, quand celle-ci voulut fuir devant l’arrivée des troupes allemandes à Saint-Pierre-Duchamp.
Un jugement du tribunal civil du Puy du 5 avril 1945 a établi l’identité de l’inconnu retrouvé le 6 juillet 1944.
Il aurait rejoint la Résistance et appartenait à un groupe surnommé "maquis jambon", un maquis qui fit parler de lui dans le secteur pour le ravitaillement. Le 5 juillet 1944, il était installé avec son groupe dans l’ancienne école de Saint-Pierre-Duchamp, sous le commandement du capitaine Lafay alias Lacour. Ces hommes faisaient semblant d’installer une colonie.
Il aurait été tué alors que le jour-même il était parti avec deux autres hommes pour rapiner dans le secteur, peut-être l’hôtel de Pontempeyrat. Le motif de cette exécution par ses camarades semble être lié au fait qu’il ait commis des vols.
Son corps a été déplacé par ses camarades pour une raison inconnue. Son corps fut retrouvé au pont de Piassiac à Saint-Georges-Lagricol (Haute-Loire) le 6 juillet 1944.
Il fut établi que le décès remontait à la veille. Il était dépourvu de ses souliers et ne fut pas identifié sur le coup.
Son fil, Michel marmonnier, fut tué le 6 juillet 1944, dans les bras de sa mère, quand celle-ci voulut fuir devant l’arrivée des troupes allemandes à Saint-Pierre-Duchamp.
Un jugement du tribunal civil du Puy du 5 avril 1945 a établi l’identité de l’inconnu retrouvé le 6 juillet 1944.
Sources
SOURCES : Gilles Lévy, A nous Auvergne !, Paris, Presses de la Cité, 1981. — Témoignages recueillis par Bruno Peyron. — État civil de Saint-Georges-Lagricol.
Bruno Peyron