Né le 25 mai 1924 à Lyon 2e arr. (Rhône, aujourd’hui Métropole de Lyon), grièvement blessé le 31 août 1944 à Pusignan (Isère, aujourd’hui Rhône) et mort le 1er septembre 1944 à l’hôpital de Bourgoin (aujourd’hui, Bourgoin-Jallieu, Isère) ; soudeur ; résistant FTPF.

Tombe d'André Carelli, Nécropole Nationale de la Doua, Villeurbanne (Rhône)
Tombe d’André Carelli, Nécropole Nationale de la Doua, Villeurbanne (Rhône)
Photo : Geneanet, sous licence d’usage CC BY-NC-SA 2.0
André, Angelo Carelli était le fils de Domenico et d’Anna Couzon.
Célibataire, il habitait 7 rue Balthazar à Lyon 3e arr. (Rhône, aujourd’hui Métropole de Lyon) et était soudeur.
Il s’engagea dans la Résistance. Il faisait probablement partie d’un groupe de FTPF, parmi ceux qui formèrent le bataillon Henri-Barbusse constitué à Pont-de-Chéruy (Isère) après le 26 août 1944.
Le 31 août 1944, André Carelli fut mortellement blessé lors du combat qui eut lieu à Pusignan (Isère, Rhône depuis 1967), entre le bataillon Henri-Barbusse et une unité de plusieurs centaines de soldats allemands.
Transporté à l’hôpital de Bourgoin, (aujourd’hui, Bourgoin-Jallieu, Isère), il y décéda le 1er septembre 1944 à 5 heures.
André Carelli obtint la mention « Mort pour la France ».
S’il n’existe pas de dossier d’homologation à son nom au Service historique de la Défense à Vincennes (Val-de-Marne), sa sépulture, n° 16, rang 8, carré D, située dans la Nécropole nationale de La Doua à Villeurbanne (Rhône, aujourd’hui Métropole de Lyon) porte la mention FFI.
Son nom figure sur la stèle FFI de Saint-Bonnet-de-Mure (Rhône), orthographié Tiarelli.


Voir : Pusignan, 31 août 1944
Sources

SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 146434 (nc) — Mémorial GenWeb.— Mémoire des hommes. — Geneanet. — État civil.

Jean-Luc Marquer

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