FOLCHER René, Félix
Né le 3 mai 1909 à Dompaire (Vosges), exécuté sommairement le 22 octobre 1944 à Moyenmoutier (Vosges) ; garde-forestier ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
René Folcher était le fils de René, garde-forestier et de Marie Alice Pierron, couturière.
Il exerçait le métier de garde-forestier à La-Bourgonce (Vosges).
Il entra dans la Résistance au 3e groupement des Vosges et à l’organisation de Résistance forestière de Louis François et Jean-François Pelet.
Le 22 octobre 1944, un parachutiste anglais participant à l’opération Loyton et treize patriotes français dont René Folcher, capturés les jours précédents par les nazis furent torturés à l’école du Vivier à Étival (Vosges) puis massacrés à la scierie Barodet, dans le vallon de Ravines proche de Saint-Prayel, écart au nord de Moyenmoutier (Vosges).
La scierie fut incendiée ensuite et les restes des victimes, mélangés les uns aux autres, furent inhumés dans une sépulture collective au cimetière communal, à Moyenmoutier.
La mairie de Moyenmoutier ne possède pas son acte de décès.
René Folcher obtint la mention « Mort pour la France », le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il reçut la Médaille de la Résistance française par décret du 29 novembre 1958 publié au JO le 6 décembre 1958.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945 et la tombe collective, à Moyenmoutier, sur le monument aux morts et la plaque commémorative de la mairie, à La Bourgonce, sur le monument aux morts, à Dompaire (Vosges) et sur le parchemin du monument 1939-1945 du Col du Haut-Jacques dédié aux forestiers résistants, à Taintrux (Vosges).
Il exerçait le métier de garde-forestier à La-Bourgonce (Vosges).
Il entra dans la Résistance au 3e groupement des Vosges et à l’organisation de Résistance forestière de Louis François et Jean-François Pelet.
Le 22 octobre 1944, un parachutiste anglais participant à l’opération Loyton et treize patriotes français dont René Folcher, capturés les jours précédents par les nazis furent torturés à l’école du Vivier à Étival (Vosges) puis massacrés à la scierie Barodet, dans le vallon de Ravines proche de Saint-Prayel, écart au nord de Moyenmoutier (Vosges).
La scierie fut incendiée ensuite et les restes des victimes, mélangés les uns aux autres, furent inhumés dans une sépulture collective au cimetière communal, à Moyenmoutier.
La mairie de Moyenmoutier ne possède pas son acte de décès.
René Folcher obtint la mention « Mort pour la France », le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Il reçut la Médaille de la Résistance française par décret du 29 novembre 1958 publié au JO le 6 décembre 1958.
Son nom figure sur la stèle commémorative 1939-1945 et la tombe collective, à Moyenmoutier, sur le monument aux morts et la plaque commémorative de la mairie, à La Bourgonce, sur le monument aux morts, à Dompaire (Vosges) et sur le parchemin du monument 1939-1945 du Col du Haut-Jacques dédié aux forestiers résistants, à Taintrux (Vosges).
Sources
SOURCES : SHD, Vincennes, GR 16 P 227034 (nc). — AVCC Caen, AC 21 P 450 798 (nc). — Wikipédia Moyenmoutier, chapitre histoire.— Journal Vosges matin du 31 octobre 2015 Barodet : l’émotion palpable 71 ans après.— Une famille de Résistants, récit de Liliane Jérôme, 4 septembre 2011.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— Recensements Dompaire année 1911.
Jean-Louis Ponnavoy