GEORGE Émile
Né le 24 mai 1900 à Anould (Vosges), exécuté sommairement le 6 juin 1944 à Anould ; cultivateur ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Émile GEORGE était le fils d’Émile GEORGE, papetier et de Marie Clémence Houssemand, papetière. Il se maria le 24 novembre 1923 à Anould avec Angèle Marie Gabrion et il était père de quatre enfants. Il était domicilié à Anould où il exerçait le métier de cultivateur.
Il entra dans la Résistance en janvier 1943 au groupement III du maquis des Vosges secteur A (capitaine Henri Mistler), commune d’Anould où ses services sont homologués à compter d’octobre 1943.
Il fut tué par les Allemands le 6 juin 1944 (7 juin sur l’acte de naissance) alors qu’il rejoignait le maquis de Corcieux. Pour Mémoire des Hommes, il fut tué au combat le 7 juin. En fait il décéda en son domicile au lieu-dit " Les Granges" le 7 juin à zéro heures quinze, mentionné sur l’acte de décès dressé le 8 juin sur la déclaration de Albert Durand, 43 ans, cultivateur, domicilié à Anould, beau-frère du défunt.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par lettre ministérielle du 5 juillet 1948 et figure dans la liste nominative des FFI du groupement mais ne possède pas de dossier d’homologation à Vincennes.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Anould (Vosges).
Il entra dans la Résistance en janvier 1943 au groupement III du maquis des Vosges secteur A (capitaine Henri Mistler), commune d’Anould où ses services sont homologués à compter d’octobre 1943.
Il fut tué par les Allemands le 6 juin 1944 (7 juin sur l’acte de naissance) alors qu’il rejoignait le maquis de Corcieux. Pour Mémoire des Hommes, il fut tué au combat le 7 juin. En fait il décéda en son domicile au lieu-dit " Les Granges" le 7 juin à zéro heures quinze, mentionné sur l’acte de décès dressé le 8 juin sur la déclaration de Albert Durand, 43 ans, cultivateur, domicilié à Anould, beau-frère du défunt.
Il obtint la mention « Mort pour la France » par lettre ministérielle du 5 juillet 1948 et figure dans la liste nominative des FFI du groupement mais ne possède pas de dossier d’homologation à Vincennes.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Anould (Vosges).
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, Cote AC 21 P 189938 (nc) et SHD, Vincennes, GR 19 P 88/4 pages 38, 86 et 99.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de naissance n° 31 et de décès n° 15).
Jean-Louis Ponnavoy
