CARASSO Roger, Nissin
Né le 5 juillet 1927 à Marseille (Bouches-du-Rhône), mort en action le 25 août 1944 à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; résistant FFI.
Roger Carasso était lycéen au lycée Saint-Charles. Il était le fils de Samuel (Samy) Carasso et avait sept frères, qui furent tous impliqués dans la résistance communiste. Son frère René mourut à Auschwitz, son frère Jean fut fusillé au Mont-Valérien en 1943. Deux de ses frères devinrent journaliste s après-guerre : Alfred travailla pour La Marseillaise et Marcel devint secrétaire général de L’Humanité (1951-1953) puis rédacteur en chef de La Marseillaise (1953-1957).
Roger Carasso fut tué en action Place Castellane lors des combats pour la libération de Marseille.
Il obtint la mention "Mort pour la France". Il existe une rue des-Trois-Frères-Carasso dans le 4e arrondissement de Marseille en hommage de Roger, René et Jean Carasso. Une plaque commémorative apposée rue des-Trois-Frères-Carasso rappelle le destin des trois frères Carasso. Il obtint la mention "Mort pour la France". Une plaque commémorative au 11A rue Louis-Astruc dans le 5e arrondissement de Marseille lui rend hommage ainsi qu’à Léon Lachamp et à Gabriel Falcone. Il apparaît enfin sur la stèle Place Castellane.
Roger Carasso fut tué en action Place Castellane lors des combats pour la libération de Marseille.
Il obtint la mention "Mort pour la France". Il existe une rue des-Trois-Frères-Carasso dans le 4e arrondissement de Marseille en hommage de Roger, René et Jean Carasso. Une plaque commémorative apposée rue des-Trois-Frères-Carasso rappelle le destin des trois frères Carasso. Il obtint la mention "Mort pour la France". Une plaque commémorative au 11A rue Louis-Astruc dans le 5e arrondissement de Marseille lui rend hommage ainsi qu’à Léon Lachamp et à Gabriel Falcone. Il apparaît enfin sur la stèle Place Castellane.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, Caen AC 21 P 38161 (nc). — Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 105787 (nc). — Recensement par Jean-Paul Kopp en août 2019, reporté sur Twitter. — Mémorial Genweb.
Benoît Prieur