Né le 28 décembre 1921 à Saint-Pierre-du-Val (Eure), mort en action le 6 juin 1944 à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure) ; résistant du maquis Surcouf, homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur.

Bernard Gosselin était résistant du maquis Surcouf.
Ses services sont homologués à partir du 1er janvier 1943.
Avec André Reinert, il fut tué au combat dans l’attaque d’une garnison ennemie à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure), le 6 juin 1944, le jour-même du débarquement de Normandie.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, soldat des Forces françaises de l’Intérieur.
Il fut inhumé au cimetière communal de Saint-Pierre-du-Val (Eure) dans une tombe familiale.
Son nom figure sur les monuments aux morts de Saint-Pierre-du-Val et de Saint-Georges-de-Vièvre, sur le monument commémoratif de la Résistance à Saint-Étienne-l’Allier (Eure), sur une plaque commémorative apposée sur la façade de la mairie de Saint-Pierre-du-Val, sur une plaque explicative, place de la mairie à saint-Georges-de-Vièvre et sur le Mémorial du maquis Surcouf à Pont-Audemer (Eure).


Sites d’exécutions : Eté 1944 : les tués ou exécutés du maquis Surcouf (Eure) : deux tués à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure), le 6 juin 1944.
Sources

SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 195994 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 263849 (nc) ; GR 19 P 27/19, p. 19. — Raymond Ruffin, Les Lucioles de ma nuit - Le maquis Surcouf en Normandie, Presses de la Cité, 1976. — Mémorial GenWeb. — Geneanet.

Jean-Paul Nicolas

Version imprimable