GONNIER Raymond, René
Né le 15 décembre 1921 à Blosseville-Bonsecours (Seine-Inférieure, Seine-Maritime), mort au combat le 4 août à Bouquelon (Eure) ; résistant du maquis Surcouf, homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur.
Raymond, René Gonnier s’engagea dans la Résistance et rejoignit les rangs du maquis Surcouf, secteur FFI de Pont-Audemer (Eure).
Ses services sont homologués à partir du 1er juin 1944.
Le matin du 4 août 1944, une compagnie de militaires allemands et un groupe d’action des Brigades antiterroristes (police de Rouen) qui recherchaient le chef de maquis Surcouf Robert Leblanc fusillèrent quatre membres du maquis Surcouf à la ferme Bréval à Épaignes (Eure). Dans la même journée, la troupe prit la direction de Quillebeuf-sur-Seine où les Surcouf étaient commandés par Maurice Jouan* Un sévère affrontement armé eut lieu au village de Bouquelon où quatre maquisards furent tués et où Maurice Jouan fut arrêté et déporté sans retour à Buchenwald.
Cet acte de résistance armée permit à Robert Leblanc d’opérer un repli et d’échapper une fois de plus aux occupants.
Parmi les tués au combat figurait Raymond Gonnier.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, soldat des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur le monument aux morts du Houlme (Seine-Maritime), sur le monument commémoratif de la Résistance à Saint-Étienne-l’Allier (Eure) et sur le Mémorial du maquis Surcouf à Pont-Audemer (Eure).
Sites d’exécutions et/ou de mémoire Pont Audemer (Eure) Les tués du maquis Surcouf Bouquelon le 4 août 1944.
Ses services sont homologués à partir du 1er juin 1944.
Le matin du 4 août 1944, une compagnie de militaires allemands et un groupe d’action des Brigades antiterroristes (police de Rouen) qui recherchaient le chef de maquis Surcouf Robert Leblanc fusillèrent quatre membres du maquis Surcouf à la ferme Bréval à Épaignes (Eure). Dans la même journée, la troupe prit la direction de Quillebeuf-sur-Seine où les Surcouf étaient commandés par Maurice Jouan* Un sévère affrontement armé eut lieu au village de Bouquelon où quatre maquisards furent tués et où Maurice Jouan fut arrêté et déporté sans retour à Buchenwald.
Cet acte de résistance armée permit à Robert Leblanc d’opérer un repli et d’échapper une fois de plus aux occupants.
Parmi les tués au combat figurait Raymond Gonnier.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué résistant, soldat des Forces françaises de l’Intérieur.
Son nom figure sur le monument aux morts du Houlme (Seine-Maritime), sur le monument commémoratif de la Résistance à Saint-Étienne-l’Allier (Eure) et sur le Mémorial du maquis Surcouf à Pont-Audemer (Eure).
Sites d’exécutions et/ou de mémoire Pont Audemer (Eure) Les tués du maquis Surcouf Bouquelon le 4 août 1944.
Sources
SOURCES : AVCC, Caen, AC 21 P 193952 (nc). — SHD, Vincennes, GR 16 P 262791 (nc) ; GR 19 P 27/19 p. 19. — Mémorial GenWeb. — Raymond Ruffin, Les Lucioles de ma nuit - Le maquis Surcouf en Normandie, Presses de la Cité, 1976.
Jean-Paul Nicolas, Jean-Luc Marquer