KIENTZ Albert, Eugène
Né le 29 janvier 1912 à Herrlisheim (Empire allemand, aujourd’hui Bas-Rhin), mort en action le 5 janvier 1945 à Herrlisheim ou à Offendorf (Bas-Rhin) ; résistant des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) homologué DIR.
Albert, Eugen Kientz était le fils de Johann, Baptist Kientz, cultivateur, et d’Eugenia Schaeffer, son épouse.
Après le retour du département à la France, les prénoms furent francisés.
La famille Kientz habitait à Herrlisheim (Empire allemand, aujourd’hui Bas-Rhin). Albert était le cinquième de six enfants.
Il entra dans la Résistance au secteur ORA de Strasbourg (Bas-Rhin) campagne et sous-secteur de Gambsheim (Bas-Rhin), où ses services furent homologués aux FFI à compter du 10 décembre 1944.
Le 31 décembre 1944, une contre-offensive baptisée opération Nordwind fut lancée par l’armée allemande pour tenter de reprendre Strasbourg mais elle fut stoppée lors de la bataille de Kilstett (Bas-Rhin) qui commença le 5 janvier 1945 avec la participation de la Ire armée française et des FFI. Kilstett était le verrou d’accès de la ville au nord.
Le soldat FFI Albert Kientz fut tué en portant renfort aux FFI du secteur au cours des combats de rue le 5 janvier 1945, à Herrlisheim ou à Offendorf (Bas-Rhin) au nord de Kilstett.
Dans les jours qui suivirent, de furieux combats opposèrent la 2ème Division Blindée (DB), la 3ème Division d’Infanterie Algérienne (DIA), des légionnaires et des résistants des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), à des soldats fanatisés. Les pertes seront sévères, le froid et la neige s’ajoutant au déluge de feu.
Les combats se termineront par la prise de Gambsheim le 31 janvier 1945.
Albert Kientz obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 3 septembre 1959 paru au JO le 9 septembre 1959.
Son nom figure sur le monument aux morts d’Herrlisheim et, avec l’orthographe KINTZ, sur le monument commémoratif 1939-1945 de la bataille de Kilstett.
Après le retour du département à la France, les prénoms furent francisés.
La famille Kientz habitait à Herrlisheim (Empire allemand, aujourd’hui Bas-Rhin). Albert était le cinquième de six enfants.
Il entra dans la Résistance au secteur ORA de Strasbourg (Bas-Rhin) campagne et sous-secteur de Gambsheim (Bas-Rhin), où ses services furent homologués aux FFI à compter du 10 décembre 1944.
Le 31 décembre 1944, une contre-offensive baptisée opération Nordwind fut lancée par l’armée allemande pour tenter de reprendre Strasbourg mais elle fut stoppée lors de la bataille de Kilstett (Bas-Rhin) qui commença le 5 janvier 1945 avec la participation de la Ire armée française et des FFI. Kilstett était le verrou d’accès de la ville au nord.
Le soldat FFI Albert Kientz fut tué en portant renfort aux FFI du secteur au cours des combats de rue le 5 janvier 1945, à Herrlisheim ou à Offendorf (Bas-Rhin) au nord de Kilstett.
Dans les jours qui suivirent, de furieux combats opposèrent la 2ème Division Blindée (DB), la 3ème Division d’Infanterie Algérienne (DIA), des légionnaires et des résistants des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), à des soldats fanatisés. Les pertes seront sévères, le froid et la neige s’ajoutant au déluge de feu.
Les combats se termineront par la prise de Gambsheim le 31 janvier 1945.
Albert Kientz obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Il fut décoré de la Médaille de la Résistance à titre posthume par décret du 3 septembre 1959 paru au JO le 9 septembre 1959.
Son nom figure sur le monument aux morts d’Herrlisheim et, avec l’orthographe KINTZ, sur le monument commémoratif 1939-1945 de la bataille de Kilstett.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, AVCC, Caen, AC 21 P 63029 et 579977 (nc) ; SHD, Vincennes GR 16 P 319953 (nc) et GR 19 P 67/8 pages 2 et 11.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.— Geneanet.— État civil (naissance), Arch. Dép. Bas-Rhin, 4 E 193/16, p. 1.
Jean-Louis Ponnavoy