HACHON André
Né le 21 mars 1925 à Chanteheux (Meurthe-et-Moselle), exécuté sommairement le 1er septembre 1944 à Merviller (Meurthe-et-Moselle) ; résistant des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
André Hachon était le fils de Henri Hachon et de Marie LOUIS, son épouse, jardiniers, domiciliés à rue des Mossus-Fourasse à Chanteheux (Meurthe-et-Moselle) en 1926.
Il était célibataire et domicilié rue Charles-Guérin, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’intérieur (FFI) de Meurthe-et-Moselle, secteur 416 de Lunéville, où ses services furent homologués du 15 janvier au 29 août 1944.
Le 29 août 1944, André Hachon vint en mission avec son camarade Pierre Mathieu chercher des armes et explosifs au presbytère de Domèvre-sur-Vezouze (Meurthe-et-Moselle), où habitait le curé Henri Stutzmann, qui était également le chef FFI, responsable du secteur 44 sous le pseudonyme de Capitaine Laforge. Dans la nuit du 29 août 1944, le Sipo-SD (service de sécurité) allemand investit le presbytère de Domèvre-sur-Vezouze dans l’espoir d’y trouver Henri Stutzmann, qui ne s’y trouvait pas. Les personnes présentes furent arrêtées : Thérèse Stutzmann, sœur du capitaine Laforge, qui vivait chez son frère et faisait partie de la Résistance, André Hachon et Pierre Mathieu ainsi que le malheureux abbé René Arnould qui avait été nommé quelques jours auparavant et n’avait rien à voir avec la Résistance.
Ils furent conduits à Baccarat (Meurthe-et-Moselle) pour y être interrogés puis fusillés par la Gestapo le 1er septembre 1944 dans la forêt de Grammont, à Merviller (Meurthe-et-Moselle), en compagnie de six autres résistants.
André Hachon obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative, à Domèvre-sur-Vezouze, sur le monument aux morts, à Lunéville la stèle commémorative des fusillés, à Merviller.
Il était célibataire et domicilié rue Charles-Guérin, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
Il entra dans la Résistance aux Forces françaises de l’intérieur (FFI) de Meurthe-et-Moselle, secteur 416 de Lunéville, où ses services furent homologués du 15 janvier au 29 août 1944.
Le 29 août 1944, André Hachon vint en mission avec son camarade Pierre Mathieu chercher des armes et explosifs au presbytère de Domèvre-sur-Vezouze (Meurthe-et-Moselle), où habitait le curé Henri Stutzmann, qui était également le chef FFI, responsable du secteur 44 sous le pseudonyme de Capitaine Laforge. Dans la nuit du 29 août 1944, le Sipo-SD (service de sécurité) allemand investit le presbytère de Domèvre-sur-Vezouze dans l’espoir d’y trouver Henri Stutzmann, qui ne s’y trouvait pas. Les personnes présentes furent arrêtées : Thérèse Stutzmann, sœur du capitaine Laforge, qui vivait chez son frère et faisait partie de la Résistance, André Hachon et Pierre Mathieu ainsi que le malheureux abbé René Arnould qui avait été nommé quelques jours auparavant et n’avait rien à voir avec la Résistance.
Ils furent conduits à Baccarat (Meurthe-et-Moselle) pour y être interrogés puis fusillés par la Gestapo le 1er septembre 1944 dans la forêt de Grammont, à Merviller (Meurthe-et-Moselle), en compagnie de six autres résistants.
André Hachon obtint la mention « Mort pour la France » et le titre de "Déporté et interné résistant" (DIR) et fut homologué soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur le monument aux morts et la plaque commémorative, à Domèvre-sur-Vezouze, sur le monument aux morts, à Lunéville la stèle commémorative des fusillés, à Merviller.
Sources
SOURCES : Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 623023 (nc) ; SHD, Vincennes, GR 16 P 282881 et GR 19 P 54/9 page 10.— Arch. Dép. Meurthe-et-Moselle, Recensement 1926, Chanteheux, 6 M 33/115, p. 15.— Fiche de renseignements Stèle des fusillés forêt de Grammont.— Wikipédia, biographie de Thérèse Stutzmann.— Mémoire des Hommes.— Mémorial Genweb.
Acte de décès demandé
Jean-Louis Ponnavoy
